Les différents ministères composant la grande famille agricole et leurs partenaires (techniques et financiers, OPA, secteur privé, société civile) sont réunis de mercredi à vendredi à Grand-Bassam, dans le cadre d’un atelier de validation du bilan de la première phase du Programme national d’investissement agricole (PNIA 1) et d’identification des axes stratégiques du PNIA 2.
« Il s’agit de faire un bilan diagnostic du PNIA 1 et de voir les orientations à donner pour la 2ème phase », a situé aux participants réunis à l’amphithéâtre du N’Sa Hôtel, M. Coulibaly Siaka Minayaha, le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture et du Développement rural.
Le représentant du ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly est revenu sur la genèse du PNIA dont la 1ère phase a été lancée en 2012, après une table ronde de mobilisation de ressources organisée les 12 et 13 septembre de la même année, avec des intentions de financement de 2040 milliards FCFA.
Le directeur de cabinet a profité de l’occasion pour exprimer sa gratitude à tous les acteurs qui ont travaillé pour les résultats positifs enregistrés dans la mise en œuvre du PNIA 1 (2012-2017), avec une « mention spéciale » pour les partenaires techniques et financiers qui ont contribué à plus de 54% des ressources. Ce, alors qu’initialement, il était attendu une contribution de 60% émanant du secteur privé.
Selon Minayaha Coulibaly, grâce à la synergie d’actions autour du PNIA 1, des tendances favorables enregistrées ont permis d’améliorer la croissance dans le secteur agricole (6% par an), d’y améliorer les revenus, de réduire la pauvreté dans le milieu rural et d’y créer plusieurs emplois.
Il estime toutefois que de nombreux défis restent à relever dont le plus capricieux constitue le changement climatique. L’équation est de voir comment s’en adapter et atténuer les effets, a-t-il dit. Il a donc donné des pistes de réflexions pour capitaliser les acquis et apporter des correctifs aux insuffisances constatées, pour l’élaboration du PNIA 2.
« Si l’émergence est un train, c’est le secteur agricole qui doit être la locomotive. (…) Le secteur ‘’primaire’’ doit être remplacé par le ‘’primordial’’ », a-t-il résumé, définissant le PNIA comme le cadre de référence unique pour appuyer le secteur agricole (ministère de l’Agriculture et des Ressources animales; ministère des Ressources animales et halieutiques; ministère des Eaux et Forêts; ministère de la salubrité, de l’Environnement et du développement durable).
cmas
« Il s’agit de faire un bilan diagnostic du PNIA 1 et de voir les orientations à donner pour la 2ème phase », a situé aux participants réunis à l’amphithéâtre du N’Sa Hôtel, M. Coulibaly Siaka Minayaha, le directeur de cabinet du ministre de l’Agriculture et du Développement rural.
Le représentant du ministre Mamadou Sangafowa Coulibaly est revenu sur la genèse du PNIA dont la 1ère phase a été lancée en 2012, après une table ronde de mobilisation de ressources organisée les 12 et 13 septembre de la même année, avec des intentions de financement de 2040 milliards FCFA.
Le directeur de cabinet a profité de l’occasion pour exprimer sa gratitude à tous les acteurs qui ont travaillé pour les résultats positifs enregistrés dans la mise en œuvre du PNIA 1 (2012-2017), avec une « mention spéciale » pour les partenaires techniques et financiers qui ont contribué à plus de 54% des ressources. Ce, alors qu’initialement, il était attendu une contribution de 60% émanant du secteur privé.
Selon Minayaha Coulibaly, grâce à la synergie d’actions autour du PNIA 1, des tendances favorables enregistrées ont permis d’améliorer la croissance dans le secteur agricole (6% par an), d’y améliorer les revenus, de réduire la pauvreté dans le milieu rural et d’y créer plusieurs emplois.
Il estime toutefois que de nombreux défis restent à relever dont le plus capricieux constitue le changement climatique. L’équation est de voir comment s’en adapter et atténuer les effets, a-t-il dit. Il a donc donné des pistes de réflexions pour capitaliser les acquis et apporter des correctifs aux insuffisances constatées, pour l’élaboration du PNIA 2.
« Si l’émergence est un train, c’est le secteur agricole qui doit être la locomotive. (…) Le secteur ‘’primaire’’ doit être remplacé par le ‘’primordial’’ », a-t-il résumé, définissant le PNIA comme le cadre de référence unique pour appuyer le secteur agricole (ministère de l’Agriculture et des Ressources animales; ministère des Ressources animales et halieutiques; ministère des Eaux et Forêts; ministère de la salubrité, de l’Environnement et du développement durable).
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