Les populations des régions du Guémon, Gbèkè, Poro et Gontougo, minées par les conflits fonciers et agriculteurs/éleveurs ont fait mardi, des propositions de solutions, au cours d’un atelier bilan organisé par la Convention de la société civile ivoirienne (CSCI) en vue de leurs règlements définitifs.
Ces propositions de solutions ont été recueillies dans environ une centaine de localités où des conflits (latents, en voie d’éclater ou déclarés) avaient été préalablement identifiés dans le cadre du projet « Promouvoir la participation inclusive de la société civile ivoirienne au processus de réconciliation nationale et de la cohésion sociale par la participation citoyenne au processus démocratique ».
Le projet, selon le chef de projet, Mme Tano Alida, avait pour but d’impliquer les populations dans la recherche de solutions aux problèmes qui minent leurs localités.
Entre autres solutions proposées, on peut citer la modernisation de l’élevage et de l’agriculture, la réactivation des couloirs de transhumance pour ce qui concerne les conflits fonciers et la baisse du coût de l’immatriculation des terres pour ce qui est des conflits fonciers.
Ce projet exécuté par la CSCI et l’Ong Concordis a permis de mener dans ces régions plus de 300 consultations avec plus de 9 000 participants. Aux dires de certains bénéficiaires qui ont pris part à l’atelier, le projet a contribué à la cohésion sociale en réduisant les conflits. Ils ont, à cet effet, demandé, qu’il soit reconduit.
ti/akn/kam
Ces propositions de solutions ont été recueillies dans environ une centaine de localités où des conflits (latents, en voie d’éclater ou déclarés) avaient été préalablement identifiés dans le cadre du projet « Promouvoir la participation inclusive de la société civile ivoirienne au processus de réconciliation nationale et de la cohésion sociale par la participation citoyenne au processus démocratique ».
Le projet, selon le chef de projet, Mme Tano Alida, avait pour but d’impliquer les populations dans la recherche de solutions aux problèmes qui minent leurs localités.
Entre autres solutions proposées, on peut citer la modernisation de l’élevage et de l’agriculture, la réactivation des couloirs de transhumance pour ce qui concerne les conflits fonciers et la baisse du coût de l’immatriculation des terres pour ce qui est des conflits fonciers.
Ce projet exécuté par la CSCI et l’Ong Concordis a permis de mener dans ces régions plus de 300 consultations avec plus de 9 000 participants. Aux dires de certains bénéficiaires qui ont pris part à l’atelier, le projet a contribué à la cohésion sociale en réduisant les conflits. Ils ont, à cet effet, demandé, qu’il soit reconduit.
ti/akn/kam