Le gouvernement a publié, mercredi, les dernières statistiques de la période 2012 à 2017 du système scolaire qui selon son porte-parole, Bruno Nabagné Koné, affichent des performances « dans le bon sens » avec notamment un taux de scolarisation brut de 104,6% contre 89% en 2011, le taux de scolarisation net se situant à 91%.
« Tout n’est parfait parce qu’il reste encore des défis à relever. Mais on peut noter partout des progressions s’agissant des indicateurs globaux de scolarisation aussi bien au niveau de l’accès qu’au niveau de la qualité », a déclaré M. Nabagné Koné, avant de livrer les étains des indicateurs, au terme d’un conseil des ministres.
Selon lui, s’appuyant sur les données fournies, au niveau de l’enseignement primaire, le taux brut de scolarisation qui prend en compte la totalité des enfants en âge d’aller à l’école s’établit à 104,6% contre 89% en 2011. « Le taux net de scolarisation qui lui ne s’applique qu’aux enfants qui sont dans la tranche de six à 11 ans (strictement ndlr) se situe à 91% », se félicitant de « 18 points » gagnés entre 2011 et 2019 même si encore 9% d’enfants de cette tranche d’âge ne vont pas à l’école.
Selon les statistiques le taux d’achèvement au primaire qui était de 59,1% en 2012 est passé à 75% en 2016. Au niveau des jeunes filles spécifiquement le taux est passé est passé de 52% à 71,6%.
Au niveau de l’enseignement secondaire, les chiffres indiquent que le taux d’achèvement pour le 1er cycle s’est accru de 9% de 2011 à 2016 et pour le second cycle de 3,3%. Le taux des jeunes filles qui atteignaient la classe de 3ème est passé à 42% contre 30% auparavant.
« Outre ces performances qui sont dans le bon sens, le gouvernement entend poursuivre les efforts en vue de l’accès à l’école de tous les enfants de ce pays y compris pour les groupes jugé plus vulnérables (jeunes filles et handicapés notamment) à travers la poursuite de construction de salles de classe, l’équipement de ces salles et la fourniture en manuels scolaires », a assuré toutefois le porte-parole du gouvernement.
Le conseil des ministres a vu par ailleurs l’adoption d’une communication relative à l’adoption du plan sectoriel éducation formation 2016-2025, pour un coût global de 5 200 milliards F CFA. Ce plan, principalement, défini les modalités de mise en œuvre de la politique de scolarisation obligatoire des enfants de six à 16 ans au cours des 10 prochaines années.
« Ce projet de grande envergure vise principalement à assurer à tous les enfants et adultes de Côte d’Ivoire une éducation et une formation de qualité. Il s’agit ici de prendre en compte les acquis du système d’Education actuel mais d’intégrer dans ce plan les ambitions de la Côte d’Ivoire qui figure au PND 2016-2020 », a indiqué le ministre Nabagné Koné.
kg/kam
« Tout n’est parfait parce qu’il reste encore des défis à relever. Mais on peut noter partout des progressions s’agissant des indicateurs globaux de scolarisation aussi bien au niveau de l’accès qu’au niveau de la qualité », a déclaré M. Nabagné Koné, avant de livrer les étains des indicateurs, au terme d’un conseil des ministres.
Selon lui, s’appuyant sur les données fournies, au niveau de l’enseignement primaire, le taux brut de scolarisation qui prend en compte la totalité des enfants en âge d’aller à l’école s’établit à 104,6% contre 89% en 2011. « Le taux net de scolarisation qui lui ne s’applique qu’aux enfants qui sont dans la tranche de six à 11 ans (strictement ndlr) se situe à 91% », se félicitant de « 18 points » gagnés entre 2011 et 2019 même si encore 9% d’enfants de cette tranche d’âge ne vont pas à l’école.
Selon les statistiques le taux d’achèvement au primaire qui était de 59,1% en 2012 est passé à 75% en 2016. Au niveau des jeunes filles spécifiquement le taux est passé est passé de 52% à 71,6%.
Au niveau de l’enseignement secondaire, les chiffres indiquent que le taux d’achèvement pour le 1er cycle s’est accru de 9% de 2011 à 2016 et pour le second cycle de 3,3%. Le taux des jeunes filles qui atteignaient la classe de 3ème est passé à 42% contre 30% auparavant.
« Outre ces performances qui sont dans le bon sens, le gouvernement entend poursuivre les efforts en vue de l’accès à l’école de tous les enfants de ce pays y compris pour les groupes jugé plus vulnérables (jeunes filles et handicapés notamment) à travers la poursuite de construction de salles de classe, l’équipement de ces salles et la fourniture en manuels scolaires », a assuré toutefois le porte-parole du gouvernement.
Le conseil des ministres a vu par ailleurs l’adoption d’une communication relative à l’adoption du plan sectoriel éducation formation 2016-2025, pour un coût global de 5 200 milliards F CFA. Ce plan, principalement, défini les modalités de mise en œuvre de la politique de scolarisation obligatoire des enfants de six à 16 ans au cours des 10 prochaines années.
« Ce projet de grande envergure vise principalement à assurer à tous les enfants et adultes de Côte d’Ivoire une éducation et une formation de qualité. Il s’agit ici de prendre en compte les acquis du système d’Education actuel mais d’intégrer dans ce plan les ambitions de la Côte d’Ivoire qui figure au PND 2016-2020 », a indiqué le ministre Nabagné Koné.
kg/kam