Abidjan - La ministre des Affaires étrangères du Liberia et présidente du Conseil des ministres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Mme Marjon Kamara, a loué les résultats positifs enregistrés ces dernières années par l’organisation régionale en matière de consolidation de la paix et de la sécurité en Afrique de l’Ouest.
Dans son discours d’ouverture, mercredi à Monrovia, de la 38ème session ordinaire du Conseil de médiation et de sécurité de la CEDEAO (CMS), Mme Kamara, a fait état des défis sécuritaires et politiques auxquels est confronté l’espace communautaire.
Elle a cité notamment la non application de l’Accord de Conakry en Guinée-Bissau, avec ses conséquences néfastes sur la situation sociopolitique et économique du pays, les attaques terroristes dans la région du lac Tchad, les crises humanitaires, les déplacés internes et les réfugiés ainsi que la transhumance en Afrique de l’Ouest.
Auparavant, certaines de ces problématiques et bien d’autres ont largement été évoquées par le président de la Commission de la CEDEAO, Marcel de Souza. Il a rappelé les événements significatifs enregistrés depuis décembre 2016 dans la sous-région ouest-africaine, notamment au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, en Gambie, en Guinée, en Guinée Bissau et au Mali.
Il a évoqué, entre autres, les multiples mutineries menées en Côte d’Ivoire par certains soldats des forces armées réclamant des primes dans le cadre de l’Accord de Ouagadougou, et salué la gestion rapide et pacifique de cette crise par le président Alassane Ouattara.
Au cours de cette rencontre dont les travaux se déroulent à huis clos, les participants devront examiner un rapport et trois memoranda et suivre une série de présentations. Le Conseil de médiation et de sécurité regroupe les ministres en charge de la Défense, de la Sécurité et des Affaires étrangères des Etats membres de la CEDEAO.
cmas
Dans son discours d’ouverture, mercredi à Monrovia, de la 38ème session ordinaire du Conseil de médiation et de sécurité de la CEDEAO (CMS), Mme Kamara, a fait état des défis sécuritaires et politiques auxquels est confronté l’espace communautaire.
Elle a cité notamment la non application de l’Accord de Conakry en Guinée-Bissau, avec ses conséquences néfastes sur la situation sociopolitique et économique du pays, les attaques terroristes dans la région du lac Tchad, les crises humanitaires, les déplacés internes et les réfugiés ainsi que la transhumance en Afrique de l’Ouest.
Auparavant, certaines de ces problématiques et bien d’autres ont largement été évoquées par le président de la Commission de la CEDEAO, Marcel de Souza. Il a rappelé les événements significatifs enregistrés depuis décembre 2016 dans la sous-région ouest-africaine, notamment au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire, en Gambie, en Guinée, en Guinée Bissau et au Mali.
Il a évoqué, entre autres, les multiples mutineries menées en Côte d’Ivoire par certains soldats des forces armées réclamant des primes dans le cadre de l’Accord de Ouagadougou, et salué la gestion rapide et pacifique de cette crise par le président Alassane Ouattara.
Au cours de cette rencontre dont les travaux se déroulent à huis clos, les participants devront examiner un rapport et trois memoranda et suivre une série de présentations. Le Conseil de médiation et de sécurité regroupe les ministres en charge de la Défense, de la Sécurité et des Affaires étrangères des Etats membres de la CEDEAO.
cmas