La coordonnatrice du programme Compendium des compétences féminines de Côte d’Ivoire (COCOFCI), Euphrasie Yao Kouassi, a annoncé jeudi, la deuxième phase dudit programme lors de la journée nationale de l’évaluation du COCOFCI.
Lors de ces journées, il s’agit de permettre aux femmes de s’accorder sur les résultats de cette évaluation. Cette rencontre est également l’occasion pour les femmes d’identifier les prochains axes majeurs d’intervention du programme conformément à la volonté affirmée du Gouvernement ivoirien d’augmenter les chances d’accès des femmes à la représentation dans les assemblées élues, de promouvoir la parité sur le marché du travail et d’encourager leur accès aux postes de responsables dans les institutions et les administrations publiques et privées.
Mme Yao a signifié que ce programme a permis entre autres un renforcement de la visibilité des femmes, la valorisation des compétences féminines, la création d’un réseau d’opportunités d’emplois, la facilitation de l’accès à l’emploi des femmes et constitue un moyen de réduction des inégalités entre les sexes.
Cette deuxième phase visera selon ses dires, non seulement à préserver les acquis de la première phase mais aussi envisage un démarrage effectif de ce programme en milieu rural, en somme « à améliorer le programme pour toutes les femmes dans leur diversité (…) et parler ainsi d’un déploiement nationale du programme », a-t-elle expliqué.
Quant au représentant résident du PNUD en Côte d’Ivoire, Boubacar Cissé qui a souhaité une pérennisation du compendium, il a relevé qu’à travers ce programme, « de réelles avancées en matière de promotion du genre sont à enregistrer, mais il substitue des défis à relever » non sans oublier de demander une mobilisation du gouvernement, du secteur privé, des partenaires au développement pour accompagner cette initiative.
Initié en 2011 par le président de la République, le Compendium a été érigé en 2016 en programme national. Il a permis la mise en place d’une base de données interactives, dynamique et exploitable de plus de 12.000 femmes inscrites librement, et la production d’un annuaire des femmes ivoiriennes cadres, souligne-t-on.
Atapointe
Lors de ces journées, il s’agit de permettre aux femmes de s’accorder sur les résultats de cette évaluation. Cette rencontre est également l’occasion pour les femmes d’identifier les prochains axes majeurs d’intervention du programme conformément à la volonté affirmée du Gouvernement ivoirien d’augmenter les chances d’accès des femmes à la représentation dans les assemblées élues, de promouvoir la parité sur le marché du travail et d’encourager leur accès aux postes de responsables dans les institutions et les administrations publiques et privées.
Mme Yao a signifié que ce programme a permis entre autres un renforcement de la visibilité des femmes, la valorisation des compétences féminines, la création d’un réseau d’opportunités d’emplois, la facilitation de l’accès à l’emploi des femmes et constitue un moyen de réduction des inégalités entre les sexes.
Cette deuxième phase visera selon ses dires, non seulement à préserver les acquis de la première phase mais aussi envisage un démarrage effectif de ce programme en milieu rural, en somme « à améliorer le programme pour toutes les femmes dans leur diversité (…) et parler ainsi d’un déploiement nationale du programme », a-t-elle expliqué.
Quant au représentant résident du PNUD en Côte d’Ivoire, Boubacar Cissé qui a souhaité une pérennisation du compendium, il a relevé qu’à travers ce programme, « de réelles avancées en matière de promotion du genre sont à enregistrer, mais il substitue des défis à relever » non sans oublier de demander une mobilisation du gouvernement, du secteur privé, des partenaires au développement pour accompagner cette initiative.
Initié en 2011 par le président de la République, le Compendium a été érigé en 2016 en programme national. Il a permis la mise en place d’une base de données interactives, dynamique et exploitable de plus de 12.000 femmes inscrites librement, et la production d’un annuaire des femmes ivoiriennes cadres, souligne-t-on.
Atapointe