FACE À L’ACTUALITÉ. La ministre de la salubrité, de l’environnement et du développement durable est attendue par de nombreux citoyens. Sur des sujets « sensibles » et qui préoccupent les ivoiriens, au quotidien. Le suivi des déguerpissements sur les voies publiques. La démolition des quartiers sociaux. La fermeture de la décharge publique d’Akouédo. L’inondation de Koumassi (Koum-beach, ndlr) la coquette.
Et pourtant, la vitrine n’est pas vraiment indiquée. Mais, sur chaque point, Anne Ouloto explique (longuement) les décisions arrêtées par son département pour éradiquer ce mal profond auquel les populations doivent faire face. « Le chantier est titanesque. Il faut la participation de tous pour sortir de cette situation », reconnait le sixième invité du CLUB ESPRIT. Et d’ajouter « Ce que nous vivons est le résultat de l’indiscipline des ivoiriens ». L’insalubrité, faut-il désespérer ?
SON ÉTAT D’ESPRIT. Le Casino barrière Éléphant d’or, bondé de monde, enregistre – à souhait et à répétition - les anecdotes de l’invité du CLUB ESPRIT. Le lustre de la salle ronde du Sofitel Hôtel Ivoire (Abidjan) imite la mine décontractée, parfois ferme d’Anne Ouloto. Surtout quand il s’est agi de dénoncer l’incivisme des populations.
Aux dires de la porte-parole adjointe du gouvernement « La fermeté. C’est (malheureusement) ce qui reste à l’État, dans la plupart des cas. » L’opération « Grand ménage » en cours va encore faire des « victimes ». C’est ce que doivent retenir les ivoiriens. Les membres de son cabinet, venus la soutenir, le savent déjà.
À SES CÔTÉS. Ce combat ne peut se faire seul. Au-delà du Chef de l’exécutif ivoirien, qui lui fait confiance, révèle-t-elle, il faut compter ses ami€s et sa famille. Ils ont massivement effectué le déplacement. À leur tête, le colonel Ouloto, son père. À la retraite.
En grand nombre aussi, des élus (députés et maires) de haut rang. Même s’ils se font discrets dans la salle, ils tiennent à marquer leur soutien aux actions de la ministre.
Leur présence distinguée, au CLUB ESPRIT, est ponctuée par des activations de jeux. D’ailleurs, certains repartent avec des lots d’annonceurs. D’autres, se consolent, d’une soirée paisible, meublée d’échanges (B to B), de photo (plus dédicace) avec Anne Ouloto.
Moustapha Maïga
Et pourtant, la vitrine n’est pas vraiment indiquée. Mais, sur chaque point, Anne Ouloto explique (longuement) les décisions arrêtées par son département pour éradiquer ce mal profond auquel les populations doivent faire face. « Le chantier est titanesque. Il faut la participation de tous pour sortir de cette situation », reconnait le sixième invité du CLUB ESPRIT. Et d’ajouter « Ce que nous vivons est le résultat de l’indiscipline des ivoiriens ». L’insalubrité, faut-il désespérer ?
SON ÉTAT D’ESPRIT. Le Casino barrière Éléphant d’or, bondé de monde, enregistre – à souhait et à répétition - les anecdotes de l’invité du CLUB ESPRIT. Le lustre de la salle ronde du Sofitel Hôtel Ivoire (Abidjan) imite la mine décontractée, parfois ferme d’Anne Ouloto. Surtout quand il s’est agi de dénoncer l’incivisme des populations.
Aux dires de la porte-parole adjointe du gouvernement « La fermeté. C’est (malheureusement) ce qui reste à l’État, dans la plupart des cas. » L’opération « Grand ménage » en cours va encore faire des « victimes ». C’est ce que doivent retenir les ivoiriens. Les membres de son cabinet, venus la soutenir, le savent déjà.
À SES CÔTÉS. Ce combat ne peut se faire seul. Au-delà du Chef de l’exécutif ivoirien, qui lui fait confiance, révèle-t-elle, il faut compter ses ami€s et sa famille. Ils ont massivement effectué le déplacement. À leur tête, le colonel Ouloto, son père. À la retraite.
En grand nombre aussi, des élus (députés et maires) de haut rang. Même s’ils se font discrets dans la salle, ils tiennent à marquer leur soutien aux actions de la ministre.
Leur présence distinguée, au CLUB ESPRIT, est ponctuée par des activations de jeux. D’ailleurs, certains repartent avec des lots d’annonceurs. D’autres, se consolent, d’une soirée paisible, meublée d’échanges (B to B), de photo (plus dédicace) avec Anne Ouloto.
Moustapha Maïga