San Pedro - En tournée de sensibilisation dans les différentes régions et unités militaires du pays, le chef d’Etat-major général (CEMAG) des armées, Touré Sékou, a exhorté jeudi, à l’étape de San Pedro, les soldats à être en cohésion, à cultiver l’esprit de corps et de fraternité au sein des armées, en dehors de toutes autres formes de catégorisations non militaires.
« La cohésion signifie qu’il n’y a que des catégories de grades », a expliqué le Général de division Touré Sékou, soulignant que les catégories au sein de toutes les armées du monde sont au nombre de trois, à savoir les officiers, les sous-officiers et les militaires du rang, les signes distinctifs étant la tenue, la couleur du béret, le grade et l’insigne de corps.
Selon le CEMAG, dans l’armée le soldat appartient à un corps pour lequel il doit se battre afin de préserver l’honneur de ce corps et partant le drapeau national. « Je ne voudrais plus entendre parler, de ’’ 8400’’, de ‘’2600’’, ‘’d’ex-FDS’’, ‘’d’ex-FAFN’’. Je veux entendre parler de l’armée ivoirienne avec des officiers, des sous-officiers et des militaires du rang », a insisté le chef d’état-major.
Au Bataillon de sécurisation du Sud-Ouest (BSSO), où s’est tenue la rencontre avec les troupes, le premier responsable militaire des armées a demandé que cessent ces regroupements par affinités qui divisent l’armée, afin « qu’émerge enfin les affinités fondées sur l’appartenance à une même unité, c’est-à-dire l’esprit de corps ».
Arrivé ensemble, l’après-midi, avec le général de brigade Nicolas Kouakou Kouadio, Commandant supérieur de la gendarmerie, le CEMAG des armées a expliqué aux troupes que si la cohésion n’est pas créée au sein de l’armée, il sera impossible de parvenir à « améliorer les relations entre l’armée et la nation. Or, a-t-il noté, « une armée qui n’est pas soutenue par sa population, qui n’est pas aimée par sa population, n’est pas une armée ».
jmk/fmo
« La cohésion signifie qu’il n’y a que des catégories de grades », a expliqué le Général de division Touré Sékou, soulignant que les catégories au sein de toutes les armées du monde sont au nombre de trois, à savoir les officiers, les sous-officiers et les militaires du rang, les signes distinctifs étant la tenue, la couleur du béret, le grade et l’insigne de corps.
Selon le CEMAG, dans l’armée le soldat appartient à un corps pour lequel il doit se battre afin de préserver l’honneur de ce corps et partant le drapeau national. « Je ne voudrais plus entendre parler, de ’’ 8400’’, de ‘’2600’’, ‘’d’ex-FDS’’, ‘’d’ex-FAFN’’. Je veux entendre parler de l’armée ivoirienne avec des officiers, des sous-officiers et des militaires du rang », a insisté le chef d’état-major.
Au Bataillon de sécurisation du Sud-Ouest (BSSO), où s’est tenue la rencontre avec les troupes, le premier responsable militaire des armées a demandé que cessent ces regroupements par affinités qui divisent l’armée, afin « qu’émerge enfin les affinités fondées sur l’appartenance à une même unité, c’est-à-dire l’esprit de corps ».
Arrivé ensemble, l’après-midi, avec le général de brigade Nicolas Kouakou Kouadio, Commandant supérieur de la gendarmerie, le CEMAG des armées a expliqué aux troupes que si la cohésion n’est pas créée au sein de l’armée, il sera impossible de parvenir à « améliorer les relations entre l’armée et la nation. Or, a-t-il noté, « une armée qui n’est pas soutenue par sa population, qui n’est pas aimée par sa population, n’est pas une armée ».
jmk/fmo