Le Ministère de la Femme, de la protection de l’Enfant et de la Solidarité, à travers sa direction de la solidarité et de la cohésion sociale, veut contribuer à renforcer la cohésion sociale et surtout prévenir les conflits observés sur l’ensemble du pays. C’est le sens d’un atelier de renforcement de capacités qui s’est ouvert le mardi 06 juin 2017 à Grand-Bassam, à l’intention d’une quarantaine de participants composés de directeurs régionaux dudit ministère et de certains de leurs collaborateurs. Une initiative qui bénéfice de l’appui financier du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD).
Cette formation selon Michel Seka, directeur de la solidarité et de la cohésion sociale, vise à accroitre les connaissances des participants en vue de renforcer la cohésion sociale et la paix dans leurs zones respectives. « La Cote d’Ivoire connait, depuis ces derniers mois, des remous sociaux. A cela s’ajoutent, aussi, des conflits de différentes natures sur l’ensemble du pays. Il est donc important, pour nous, de renforcer les capacités des directeurs régionaux afin qu’ils puissent être actifs sur le terrain. Par exemple, prendre des initiatives pour prévenir un éventuel conflit et surtout œuvrer à consolider la paix», a-t-il expliqué.
Durant trois jours, les participants ont pu se familiariser avec les notions de solidarité, de cohésion sociale, de prévention et gestion pacifique de conflits et d’alerte précoce. A terme, ils devront appliquer les connaissances acquises sur le terrain.
Une formation dont se félicitent certains participants. « Cet atelier nous permettra d’être opérationnels sur le terrain. Par exemple, créer, un véritable réseau d’informations, mettre en place une véritable coordination entre les moniteurs de l’Observatoire de la Solidarité et de la Cohésion Sociale et les Directions Régionales afin de remonter des informations fiables à la hiérarchie», a promis Kouamé Kouadio Issouffou, Directeur régional du Tonpki.
Boali Aimé, Directeur Régional de la Mé, envisage pour sa part, initier un cadre permanent d’échanges entre les différentes communautés, les associations de jeunes et de femmes de sa zone de compétence en vue de renforcer la cohésion sociale. Ce dernier n’a pas manqué de saluer la nouvelle approche de la Direction de la Solidarité et de la Cohésion Sociale. « Cette nouvelle approche qui consiste à briser ‘’le mur’’ entre les directions centrales et les directions régionales favorisera une meilleure collaboration. » a-t-il indiqué.
Après la formation des directeurs régionaux, le cap sera mis la semaine prochaine sur celle des points focaux « cohésion sociale » des différents ministères techniques. Objectif : renforcer les mécanismes de coordination des actions de cohésion sociale.
Sercom
Cette formation selon Michel Seka, directeur de la solidarité et de la cohésion sociale, vise à accroitre les connaissances des participants en vue de renforcer la cohésion sociale et la paix dans leurs zones respectives. « La Cote d’Ivoire connait, depuis ces derniers mois, des remous sociaux. A cela s’ajoutent, aussi, des conflits de différentes natures sur l’ensemble du pays. Il est donc important, pour nous, de renforcer les capacités des directeurs régionaux afin qu’ils puissent être actifs sur le terrain. Par exemple, prendre des initiatives pour prévenir un éventuel conflit et surtout œuvrer à consolider la paix», a-t-il expliqué.
Durant trois jours, les participants ont pu se familiariser avec les notions de solidarité, de cohésion sociale, de prévention et gestion pacifique de conflits et d’alerte précoce. A terme, ils devront appliquer les connaissances acquises sur le terrain.
Une formation dont se félicitent certains participants. « Cet atelier nous permettra d’être opérationnels sur le terrain. Par exemple, créer, un véritable réseau d’informations, mettre en place une véritable coordination entre les moniteurs de l’Observatoire de la Solidarité et de la Cohésion Sociale et les Directions Régionales afin de remonter des informations fiables à la hiérarchie», a promis Kouamé Kouadio Issouffou, Directeur régional du Tonpki.
Boali Aimé, Directeur Régional de la Mé, envisage pour sa part, initier un cadre permanent d’échanges entre les différentes communautés, les associations de jeunes et de femmes de sa zone de compétence en vue de renforcer la cohésion sociale. Ce dernier n’a pas manqué de saluer la nouvelle approche de la Direction de la Solidarité et de la Cohésion Sociale. « Cette nouvelle approche qui consiste à briser ‘’le mur’’ entre les directions centrales et les directions régionales favorisera une meilleure collaboration. » a-t-il indiqué.
Après la formation des directeurs régionaux, le cap sera mis la semaine prochaine sur celle des points focaux « cohésion sociale » des différents ministères techniques. Objectif : renforcer les mécanismes de coordination des actions de cohésion sociale.
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