Abidjan - La ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto a exprimé vendredi à Assinie son satisfecit à l’issue de la mise en œuvre du Plan d’intervention d’urgence de lutte contre les pollutions accidentelles en mer, en lagune et dans les zones côtières (Pollumar).
Un exercice de simulation exécuté jeudi a mis en situation la collision entre un navire en provenance du Nigeria transportant des hydrocarbures et un chalutier ivoirien, occasionnant le déversement de quelques 500 tonnes de pétrole brut aux larges des côtes ivoiriennes, notamment à Assinie. Cet accident a contraint le gouvernement à déclencher le Pollumar, rappelle-t-on.
« Je voudrais noter que ce premier exercice s’est déroulé avec satisfaction. Je déclare donc la levée du plan Pollumar maintenant que la crise est passée », s’est félicitée Anne Ouloto en présence de son collègue des Transports, Koné Amadou. Ce dernier a salué à son tour, « le bon déroulement de cette opération qui a permis de contenir les effets et les conséquences de ce déversement d’hydrocarbures ».
Anne Ouloto a rappelé que depuis octobre 2015, la Côte d’Ivoire dispose d’un Plan pour faire face aux éventuels cas de pollution. « Cet exercice est une simulation de notre plan d’urgence national et c’est le moment indiqué pour permettre à chaque structure de jouer son rôle », a-t-elle indiqué, en félicitant les structures qui ont pris part à cet exercice.
Auparavant, le directeur général du Centre ivoirien antipollution (CIAPOL), Martin Niagne Dibi a expliqué que dès réception de l’alerte, un hélicoptère et deux patrouilleurs ont été dépêchés sur le lieu du sinistre pour une évaluation. Une cellule de crise composée d’un comité interministériel et des sociétés pétrolières appuyées de trois experts de l’Organisation mondiale maritime a été convoquée.
Poursuivant, il a indiqué que 23.000 litres de dispersant ont été utilisés pour contenir le produit de sorte qu’il ne se propage pas. Minutieusement, a-t-il expliqué, ses services ont procédé au nettoyage des plages et au recensement des populations impactées pour leur indemnisation. « Le dernier survol fait savoir qu’il n’y plus d’hydrocarbure et le nettoyage des plages terminé », a conclu Niagne Dibi.
gak/cmas
Un exercice de simulation exécuté jeudi a mis en situation la collision entre un navire en provenance du Nigeria transportant des hydrocarbures et un chalutier ivoirien, occasionnant le déversement de quelques 500 tonnes de pétrole brut aux larges des côtes ivoiriennes, notamment à Assinie. Cet accident a contraint le gouvernement à déclencher le Pollumar, rappelle-t-on.
« Je voudrais noter que ce premier exercice s’est déroulé avec satisfaction. Je déclare donc la levée du plan Pollumar maintenant que la crise est passée », s’est félicitée Anne Ouloto en présence de son collègue des Transports, Koné Amadou. Ce dernier a salué à son tour, « le bon déroulement de cette opération qui a permis de contenir les effets et les conséquences de ce déversement d’hydrocarbures ».
Anne Ouloto a rappelé que depuis octobre 2015, la Côte d’Ivoire dispose d’un Plan pour faire face aux éventuels cas de pollution. « Cet exercice est une simulation de notre plan d’urgence national et c’est le moment indiqué pour permettre à chaque structure de jouer son rôle », a-t-elle indiqué, en félicitant les structures qui ont pris part à cet exercice.
Auparavant, le directeur général du Centre ivoirien antipollution (CIAPOL), Martin Niagne Dibi a expliqué que dès réception de l’alerte, un hélicoptère et deux patrouilleurs ont été dépêchés sur le lieu du sinistre pour une évaluation. Une cellule de crise composée d’un comité interministériel et des sociétés pétrolières appuyées de trois experts de l’Organisation mondiale maritime a été convoquée.
Poursuivant, il a indiqué que 23.000 litres de dispersant ont été utilisés pour contenir le produit de sorte qu’il ne se propage pas. Minutieusement, a-t-il expliqué, ses services ont procédé au nettoyage des plages et au recensement des populations impactées pour leur indemnisation. « Le dernier survol fait savoir qu’il n’y plus d’hydrocarbure et le nettoyage des plages terminé », a conclu Niagne Dibi.
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