Abidjan - Un protocole d’accord en vue de la promotion de l’Environnement et du développement durable a été paraphé mardi à Abidjan entre les ministres de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto et de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Ramata Bakayoko-Ly à l’occasion de la journée scientifique de la quinzaine nationale de l’environnement.
« Nous voulons magnifier la science et la recherche par la signature d’un protocole d’accord pour revaloriser la recherche », a indiqué en substance Anne Ouloto, estimant que la science doit dorénavant s’approprier la question de l’environnement et du développement durable pour une solution durable. « Aucune politique durable de développement ne saurait être initiée sans l’appui et l’implication de la science », a-t-elle déclaré.
La ministre en charge de l’environnement a expliqué que l’instauration d’une journée scientifique durant cette quinzaine de l’environnement devra permettre un dialogue sur la question pour à terme aboutir à une protection efficiente de l’environnement qui est une affaire de tous. « Tant que la science ne s’approprie pas ces enjeux, je suis convaincue que nous nous battrons des années et des années encore », a-t-elle lancé.
Sa collègue en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Bakyoko-Ly Ramata, a salué l’initiative de cette quinzaine avec sa journée scientifique qui, a-t-elle indiqué, « vise un échange interactif entre scientifiques et décideurs ». Mme Bakayoko-Ly a rassuré de l’appui de son ministère quant à la protection de l’environnement pour accompagner l’émergence de la Côte d’Ivoire.
Elle a exhorté les experts à la production de très bonnes recommandations à l’issue de cette journée scientifique qui devra débattre de deux thèmes, « Eau, forêts, climat : interaction avec l’homme » et , « Pollution des océans : enjeux, défis et perspectives ». Mme Bakayoko-Ly a expliqué que d’ici 2050 si rien est fait les inconvénients liés à l’environnement risque d’être catastrophique. « Les scientifiques ont un rôle important à jouer », a-t-elle insisté.
gak/kam
« Nous voulons magnifier la science et la recherche par la signature d’un protocole d’accord pour revaloriser la recherche », a indiqué en substance Anne Ouloto, estimant que la science doit dorénavant s’approprier la question de l’environnement et du développement durable pour une solution durable. « Aucune politique durable de développement ne saurait être initiée sans l’appui et l’implication de la science », a-t-elle déclaré.
La ministre en charge de l’environnement a expliqué que l’instauration d’une journée scientifique durant cette quinzaine de l’environnement devra permettre un dialogue sur la question pour à terme aboutir à une protection efficiente de l’environnement qui est une affaire de tous. « Tant que la science ne s’approprie pas ces enjeux, je suis convaincue que nous nous battrons des années et des années encore », a-t-elle lancé.
Sa collègue en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Bakyoko-Ly Ramata, a salué l’initiative de cette quinzaine avec sa journée scientifique qui, a-t-elle indiqué, « vise un échange interactif entre scientifiques et décideurs ». Mme Bakayoko-Ly a rassuré de l’appui de son ministère quant à la protection de l’environnement pour accompagner l’émergence de la Côte d’Ivoire.
Elle a exhorté les experts à la production de très bonnes recommandations à l’issue de cette journée scientifique qui devra débattre de deux thèmes, « Eau, forêts, climat : interaction avec l’homme » et , « Pollution des océans : enjeux, défis et perspectives ». Mme Bakayoko-Ly a expliqué que d’ici 2050 si rien est fait les inconvénients liés à l’environnement risque d’être catastrophique. « Les scientifiques ont un rôle important à jouer », a-t-elle insisté.
gak/kam