M'Bahiakro - La ville de M'Bahiakro (centre-est, région de l'Iffou), a accueilli vendredi, la cérémonie officielle de la célébration de la 27e édition de la journée internationale de l'enfant africain (JEA).
La célébration de cette journée dont le thème est "L'agenda 2030 pour un développement durable en faveur des enfants en Afrique: Accélérons la protection, l'autonomisation et l'égalité des chances", a été l'occasion pour la ministre de la Femme, de la Protection de l'enfant et de la Solidarité, Mariatou Koné de "rappeler aux uns et aux autres, surtout aux parents et aux familles, leur devoir de protection envers les enfants".
Il s'agit pour elle aussi, non seulement de "faire le bilan des violations des droits des enfants mais aussi d'envisager des solutions appropriées pour y mettre fin". Tout en rappelant la ferme volonté du gouvernement de faire de la protection de l'enfant une priorité nationale, Mariatou Koné a énuméré les droits de l'enfant que sont le droit à la vie, à la santé, à l'éducation, à la protection et à la participation, droits fondamentaux inscrits dans notre constitution.
Elle a, par ailleurs, déploré qu'un nombre important d'enfants ne soit pas déclaré à l'Etat civil et que l'éducation de la jeune fille reste à ce jour un défi pour notre pays. Et aussi de dénoncer les pratiques que sont, l'excision et toutes les autres formes de mutilations génitales féminines dans certaines régions auxquelles s'ajoutent les nombreux facteurs de discrimination à l'égard des jeunes filles.
La célébration de cette journée a été marquée aussi par des sketchs d'enfants, des prestations d'artistes et des dons de madame la ministre à des structures placées sous sa tutelle.
(AIP)
djmzb/fmo
La célébration de cette journée dont le thème est "L'agenda 2030 pour un développement durable en faveur des enfants en Afrique: Accélérons la protection, l'autonomisation et l'égalité des chances", a été l'occasion pour la ministre de la Femme, de la Protection de l'enfant et de la Solidarité, Mariatou Koné de "rappeler aux uns et aux autres, surtout aux parents et aux familles, leur devoir de protection envers les enfants".
Il s'agit pour elle aussi, non seulement de "faire le bilan des violations des droits des enfants mais aussi d'envisager des solutions appropriées pour y mettre fin". Tout en rappelant la ferme volonté du gouvernement de faire de la protection de l'enfant une priorité nationale, Mariatou Koné a énuméré les droits de l'enfant que sont le droit à la vie, à la santé, à l'éducation, à la protection et à la participation, droits fondamentaux inscrits dans notre constitution.
Elle a, par ailleurs, déploré qu'un nombre important d'enfants ne soit pas déclaré à l'Etat civil et que l'éducation de la jeune fille reste à ce jour un défi pour notre pays. Et aussi de dénoncer les pratiques que sont, l'excision et toutes les autres formes de mutilations génitales féminines dans certaines régions auxquelles s'ajoutent les nombreux facteurs de discrimination à l'égard des jeunes filles.
La célébration de cette journée a été marquée aussi par des sketchs d'enfants, des prestations d'artistes et des dons de madame la ministre à des structures placées sous sa tutelle.
(AIP)
djmzb/fmo