La cérémonie officielle de la Journée mondiale de lutte contre la désertification a été célébrée le samedi 17 Juin 2017, à Banian, village situé à 35 Km au Sud de Bouna, dans la région du Bounkani. A cette occasion, il a été révélé que 700 millions de personnes sont menacées d’exil si le phénomène perdure.
Aux festivités de cette journée placée sous le thème « notre terre, notre maison, notre futur », Madame Koffi Parfaite, conseillère technique du ministre Anne Désirée Ouloto, ministre de la Salubrité de l’Environnement et du Développement durable estime que « la problématique de la désertification et de la dégradation des terres demeure inévitablement encore une préoccupation pour la plupart des pays ». Pour Mme Koffi qui représentait la ministre, la désertification constitue un frein au développement au regard de ses impacts sur l’environnement, la sécurité alimentaire, la croissance économique et particulièrement les conditions de vie des populations. Elle a déploré la persistance du fléau malgré les nombreux efforts consentis par la communauté internationale et les différents Etats, depuis l’adoption de la Convention des Nations Unies en 1994 sur la lutte contre la désertification, la sécheresse et la dégradation des terres. Aussi, Koffi Parfaite soutient-elle qu’environ 700 millions de personnes seront contraintes à l’exil si rien n’est fait au niveau des Etats les plus touchés au monde.
C’est pourquoi, l’émissaire de Anne Ouloto a plaidé pour une synergie d’actions et une approche locale de solutions, autre que la technique traditionnelle de la jachère. Elle suggère la régénération des sols et leur fertilisation par le compost à base organique, le reboisement avec des espèces fertilisantes et la pratique de l’agriculture hors sol ou sous serre. « La lutte contre la désertification des sols est un problème à la fois local, régional et global qui nécessite un effort global concerté visant à enrayer, voire à inverser le phénomène », a-t-elle jugé.
Le Directeur Général de l’office des parcs et réserves (l’OIPR) a, quant à lui, salué la mobilisation du corps préfectoral, des populations et des partenaires techniques et financiers, non sans relever l’importance du Parc National de la Comoé, voisin. « La lutte contre la désertification est une œuvre noble. Vous avez le Parc National de la Comoé, un rempart contre la désertification et la dégradation des sols. Faisons en sorte que ce patrimoine soit préservé », a conseillé le Colonel Tondassama.
EF avec Sercom
Aux festivités de cette journée placée sous le thème « notre terre, notre maison, notre futur », Madame Koffi Parfaite, conseillère technique du ministre Anne Désirée Ouloto, ministre de la Salubrité de l’Environnement et du Développement durable estime que « la problématique de la désertification et de la dégradation des terres demeure inévitablement encore une préoccupation pour la plupart des pays ». Pour Mme Koffi qui représentait la ministre, la désertification constitue un frein au développement au regard de ses impacts sur l’environnement, la sécurité alimentaire, la croissance économique et particulièrement les conditions de vie des populations. Elle a déploré la persistance du fléau malgré les nombreux efforts consentis par la communauté internationale et les différents Etats, depuis l’adoption de la Convention des Nations Unies en 1994 sur la lutte contre la désertification, la sécheresse et la dégradation des terres. Aussi, Koffi Parfaite soutient-elle qu’environ 700 millions de personnes seront contraintes à l’exil si rien n’est fait au niveau des Etats les plus touchés au monde.
C’est pourquoi, l’émissaire de Anne Ouloto a plaidé pour une synergie d’actions et une approche locale de solutions, autre que la technique traditionnelle de la jachère. Elle suggère la régénération des sols et leur fertilisation par le compost à base organique, le reboisement avec des espèces fertilisantes et la pratique de l’agriculture hors sol ou sous serre. « La lutte contre la désertification des sols est un problème à la fois local, régional et global qui nécessite un effort global concerté visant à enrayer, voire à inverser le phénomène », a-t-elle jugé.
Le Directeur Général de l’office des parcs et réserves (l’OIPR) a, quant à lui, salué la mobilisation du corps préfectoral, des populations et des partenaires techniques et financiers, non sans relever l’importance du Parc National de la Comoé, voisin. « La lutte contre la désertification est une œuvre noble. Vous avez le Parc National de la Comoé, un rempart contre la désertification et la dégradation des sols. Faisons en sorte que ce patrimoine soit préservé », a conseillé le Colonel Tondassama.
EF avec Sercom