Abidjan - Les ministres en charge de la Santé humaine, animales et environnementale de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) ont décidé samedi à Abuja au Nigéria, lors de leur réunion de mise en place de la plateforme de coordination politique "Une seule santé" d’engager une politique commune en vue de combattre les maladies qui proviennent des animaux.
Selon un communiqué parvenu à l'AIP, le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, présent à cette réunion a salué cet engagement. «C’est un engagement fort que nous venons de prendre dont l’objet consiste à être ensemble et efficace dans la lutte contre les maladies », précise le document.
Cette plateforme a fait savoir la représentante de la Directrice Générale de l’Organisation mondiale de la santé animale (Oie), Dré Monique Eloit, "est la matérialisation concrète de la volonté affichée de mettre en œuvre des actions concrètes dans l’espace de la Cedeao intégrant la médecine humaine, la médecine vétérinaire, la santé publique et l’information environnementale à l’élaboration des politiques et à la définition des mesures à prendre pour répondre aux menace".
Au nom de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), Dr Alimata Nama s’est dite heureuse de retrouver à Abuja les ministres et les experts afin de promouvoir et concrétiser un peu plus l’approche « One Health » à laquelle ils aspirent tous.
«Nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper que le processus de deux ans pour favoriser une vision commune et l’adoption de l’approche 'une seule santé' dans l’espace communautaire pour renforcer la prévention, la détection et la réponse aux menaces de maladies infectieuses y compris les zoonoses et de la résistance aux antimicrobiens s’inscrit dans le plan mondial partager l’OIE, la FAO et l’OMS », a-t-elle indiqué.
Ces trois organisations ont signé en 2010, l’accord tripartite sur la base de leur vision commune à savoir un monde capable de prévenir, détecter, contenir, éliminer et apporter une riposte aux risques de santé animale, et publique attribuables aux zoonoses et autres maladies ayant un impact sur la sécurité alimentaire sur la base d’une coopération multisectorielle et des partenaires forts, indique-t-on.
En décembre 2013, l'épidémie de maladie à virus Ebola déclarée en Afrique de l'Ouest en Guinée avant de s'étendre au Liberia et à la Sierra Leone avait enregistré, au moins 28 000 cas pour plus de 11 000 décès, selon les données de l’OMS, rappelle-t-on.
bsp/kam
Selon un communiqué parvenu à l'AIP, le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, présent à cette réunion a salué cet engagement. «C’est un engagement fort que nous venons de prendre dont l’objet consiste à être ensemble et efficace dans la lutte contre les maladies », précise le document.
Cette plateforme a fait savoir la représentante de la Directrice Générale de l’Organisation mondiale de la santé animale (Oie), Dré Monique Eloit, "est la matérialisation concrète de la volonté affichée de mettre en œuvre des actions concrètes dans l’espace de la Cedeao intégrant la médecine humaine, la médecine vétérinaire, la santé publique et l’information environnementale à l’élaboration des politiques et à la définition des mesures à prendre pour répondre aux menace".
Au nom de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), Dr Alimata Nama s’est dite heureuse de retrouver à Abuja les ministres et les experts afin de promouvoir et concrétiser un peu plus l’approche « One Health » à laquelle ils aspirent tous.
«Nous pouvons affirmer sans risque de nous tromper que le processus de deux ans pour favoriser une vision commune et l’adoption de l’approche 'une seule santé' dans l’espace communautaire pour renforcer la prévention, la détection et la réponse aux menaces de maladies infectieuses y compris les zoonoses et de la résistance aux antimicrobiens s’inscrit dans le plan mondial partager l’OIE, la FAO et l’OMS », a-t-elle indiqué.
Ces trois organisations ont signé en 2010, l’accord tripartite sur la base de leur vision commune à savoir un monde capable de prévenir, détecter, contenir, éliminer et apporter une riposte aux risques de santé animale, et publique attribuables aux zoonoses et autres maladies ayant un impact sur la sécurité alimentaire sur la base d’une coopération multisectorielle et des partenaires forts, indique-t-on.
En décembre 2013, l'épidémie de maladie à virus Ebola déclarée en Afrique de l'Ouest en Guinée avant de s'étendre au Liberia et à la Sierra Leone avait enregistré, au moins 28 000 cas pour plus de 11 000 décès, selon les données de l’OMS, rappelle-t-on.
bsp/kam