La 16è Session de la Conférence des Ministres Africains de l’Environnement (CMAE), à laquelle a pris part, au Radisson Blu Hotel de Libreville au Gabon, le Ministre Anne Désirée Ouloto et deux experts ivoiriens en Environnement et Développement Durable, a refermé ses portes le 16 juin 2017. Placée sous le thème ‘’d’Investir dans les solutions environnementales innovatrices pour accélérer la mise en œuvre des Objectifs de Développement Durable et de l’Agenda 2063 en Afrique‘’, cette rencontre de haut niveau a une fois encore mis en relief le leadership de la Côte d’Ivoire dans la gouvernance environnementale.
Le Ministre Anne Désirée Ouloto, en prenant en charge le département de l’Environnement en janvier dernier en avait donné le ‘’la’’ affichant cette ambition d’assumer une bonne gouvernance environnementale. Il fallait entendre par ce ‘’slogan-ambition’’ le repositionnement de la Côte d’Ivoire, en la matière, sur le Continent et partout dans le monde. Le 31 mars 2017 à Abidjan, et ce pour trois ans, le Ministre Anne Désirée Ouloto succédait à son homologue sud-africaine Edith Bomo, en qualité de Présidente du Bureau de la Convention relative à la Coopération en matière de protection et de mise en valeur des milieux marins et des zones côtières de la façade atlantique ouest, centre et sud (ou Cop 12). La réalisation de cet objectif commençait, dès lors.
Libreville a encore fait la preuve de ce leadership et des avancées obtenues par le Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable (MINSEDD) qui a pu obtenir que se déroule à Abidjan, les 17, 18 et 19 octobre prochains, la seconde Conférence des Parties de Bamako. La déclaration de Libreville’’ adoptée à l’issue des travaux au Gabon mentionne clairement cette importante décision.
L’autre motif de satisfaction est la signature de la Convention Cadre de Coopération 2017-2020 entre la Côte d’Ivoire et l’ONU Environnement qui a eu lieu au sein de l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Gabon, en marge des travaux de la CMAE. Grace à l’appui de cette coopération, la Côte d’Ivoire pourra apporter des réponses rapides aux défis prioritaires, telles que la dépollution et la réhabilitation du système lagunaire Ebrié, la lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts, la gestion intégrée des parcs et réserves, la lutte contre les pollutions urbaines, la lutte contre l’orpaillage clandestin, l’audit du secteur minier, l’opérationnalisation de la feuille de route de l’accord de Paris sur le Climat et les Objectifs du Développement Durable.
Au chapitre des relations bilatérales, il faut également noter que le Ministre Anne Désirée Ouloto a successivement accordé à Mr. Erik Solheim, Vice-Secrétaire Général des Nations, Président Exécutif de l’Organisation des Nations pour l’Environnement (ONU-Environnement) et Mme Angèle Luh du Bureau, sous-régional de l’ONU Environnement pour l’Afrique de l’Ouest, à Madame Nezha El Ouafi, Secrétaire d’Etat chargée du Développement Durable du Royaume du Maroc, avec les organisations Conseil Panafricain des Doctorants en Environnement (COPADEN) et Service Canadien d’Assistance aux Organismes (SACO) et au Président Directeur Général du Fonds de l’Environnement Mondial (FEM), Mme Naoko Ishi. Au bout de cette offensive diplomatique, des retombées immédiates pour la nation puisque la Côte d’Ivoire est de retour dans le Conseil d’Administration du FEM. Le FEM s’engage à soutenir la Côte d’Ivoire dans la réalisation des projets dans le cadre de l’agriculture et l’utilisation des terres. Le pays jouera le rôle de pays leader de la région Afrique pour exprimer clairement les besoins et les priorités du Continent relatifs au nouveau Programme à Impact du FEM. A Addis Abeba, la Côte d’Ivoire sera présente les 2, 3 et 4 octobre 2017, pour porter la voix de l’Afrique à la prochaine réunion.
La Délégation conduite par le Ministre Anne Ouloto était composée de Pr Kouadio Kouamé Georges, Expert en Sciences Chimiques, Environnement et Changements Climatiques, Pedia Patrick, Secrétaire permanent de la Commission Nationale de Développement Durable et la Représentation diplomatique de la Côte d’Ivoire au Gabon, avec à sa tête l’Ambassadeur Philippe Mangou.
Le Ministre Anne Désirée Ouloto, en prenant en charge le département de l’Environnement en janvier dernier en avait donné le ‘’la’’ affichant cette ambition d’assumer une bonne gouvernance environnementale. Il fallait entendre par ce ‘’slogan-ambition’’ le repositionnement de la Côte d’Ivoire, en la matière, sur le Continent et partout dans le monde. Le 31 mars 2017 à Abidjan, et ce pour trois ans, le Ministre Anne Désirée Ouloto succédait à son homologue sud-africaine Edith Bomo, en qualité de Présidente du Bureau de la Convention relative à la Coopération en matière de protection et de mise en valeur des milieux marins et des zones côtières de la façade atlantique ouest, centre et sud (ou Cop 12). La réalisation de cet objectif commençait, dès lors.
Libreville a encore fait la preuve de ce leadership et des avancées obtenues par le Ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement Durable (MINSEDD) qui a pu obtenir que se déroule à Abidjan, les 17, 18 et 19 octobre prochains, la seconde Conférence des Parties de Bamako. La déclaration de Libreville’’ adoptée à l’issue des travaux au Gabon mentionne clairement cette importante décision.
L’autre motif de satisfaction est la signature de la Convention Cadre de Coopération 2017-2020 entre la Côte d’Ivoire et l’ONU Environnement qui a eu lieu au sein de l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Gabon, en marge des travaux de la CMAE. Grace à l’appui de cette coopération, la Côte d’Ivoire pourra apporter des réponses rapides aux défis prioritaires, telles que la dépollution et la réhabilitation du système lagunaire Ebrié, la lutte contre la déforestation et la dégradation des forêts, la gestion intégrée des parcs et réserves, la lutte contre les pollutions urbaines, la lutte contre l’orpaillage clandestin, l’audit du secteur minier, l’opérationnalisation de la feuille de route de l’accord de Paris sur le Climat et les Objectifs du Développement Durable.
Au chapitre des relations bilatérales, il faut également noter que le Ministre Anne Désirée Ouloto a successivement accordé à Mr. Erik Solheim, Vice-Secrétaire Général des Nations, Président Exécutif de l’Organisation des Nations pour l’Environnement (ONU-Environnement) et Mme Angèle Luh du Bureau, sous-régional de l’ONU Environnement pour l’Afrique de l’Ouest, à Madame Nezha El Ouafi, Secrétaire d’Etat chargée du Développement Durable du Royaume du Maroc, avec les organisations Conseil Panafricain des Doctorants en Environnement (COPADEN) et Service Canadien d’Assistance aux Organismes (SACO) et au Président Directeur Général du Fonds de l’Environnement Mondial (FEM), Mme Naoko Ishi. Au bout de cette offensive diplomatique, des retombées immédiates pour la nation puisque la Côte d’Ivoire est de retour dans le Conseil d’Administration du FEM. Le FEM s’engage à soutenir la Côte d’Ivoire dans la réalisation des projets dans le cadre de l’agriculture et l’utilisation des terres. Le pays jouera le rôle de pays leader de la région Afrique pour exprimer clairement les besoins et les priorités du Continent relatifs au nouveau Programme à Impact du FEM. A Addis Abeba, la Côte d’Ivoire sera présente les 2, 3 et 4 octobre 2017, pour porter la voix de l’Afrique à la prochaine réunion.
La Délégation conduite par le Ministre Anne Ouloto était composée de Pr Kouadio Kouamé Georges, Expert en Sciences Chimiques, Environnement et Changements Climatiques, Pedia Patrick, Secrétaire permanent de la Commission Nationale de Développement Durable et la Représentation diplomatique de la Côte d’Ivoire au Gabon, avec à sa tête l’Ambassadeur Philippe Mangou.