Quelque 27 agents des forces de l’ordre impliqués dans 19 faits de rackets seront présentés devant le Tribunal militaire d’Abidjan pour répondre de leurs actes à partir de jeudi, a appris APA, mardi, de source officielle dans la capitale économique ivoirienne.
« Il y a 19 cas de rackets. Sur ces cas, il y’a 27 personnes impliquées que nous allons commencer à juger dès le jeudi », a annoncé le Commissaire du gouvernement Ange Kessi.
« Tout comme le vol, le racket c’est tous les jours », a poursuivi le Commissaire précisant que son Tribunal n’agit que sur des plaintes et ne peut s’autosaisir.
Par ailleurs, il a indiqué que des enquêtes sont ouvertes sur les différentes mutineries que le pays a connues. «Pour janvier des personnes sont mortes et 3 personnes ont été arrêtées. Pour la dernière (mai), une enquête a été ouverte .Nous n’avons pas encore les résultats », a-t-il précisé.
Par ailleurs, le Premier responsable du Tribunal militaire d’Abidjan a attiré l’attention des populations ivoiriennes sur des escroqueries liées à des concours notamment à la police et à la gendarmerie.
Pour ces affaires, il annonce que 80 personnes seront jugées d’ici fin 2017. « Il faut faire attention. Il s’est beaucoup développé », a regretté Ange Kessi parlant de ce phénomène.
SY/ls/APA
« Il y a 19 cas de rackets. Sur ces cas, il y’a 27 personnes impliquées que nous allons commencer à juger dès le jeudi », a annoncé le Commissaire du gouvernement Ange Kessi.
« Tout comme le vol, le racket c’est tous les jours », a poursuivi le Commissaire précisant que son Tribunal n’agit que sur des plaintes et ne peut s’autosaisir.
Par ailleurs, il a indiqué que des enquêtes sont ouvertes sur les différentes mutineries que le pays a connues. «Pour janvier des personnes sont mortes et 3 personnes ont été arrêtées. Pour la dernière (mai), une enquête a été ouverte .Nous n’avons pas encore les résultats », a-t-il précisé.
Par ailleurs, le Premier responsable du Tribunal militaire d’Abidjan a attiré l’attention des populations ivoiriennes sur des escroqueries liées à des concours notamment à la police et à la gendarmerie.
Pour ces affaires, il annonce que 80 personnes seront jugées d’ici fin 2017. « Il faut faire attention. Il s’est beaucoup développé », a regretté Ange Kessi parlant de ce phénomène.
SY/ls/APA