Abidjan (Côte d’Ivoire) - La formation professionnelle de la Côte d’Ivoire est un ‘’secteur sinistré’’, a souligné, mardi, à Abidjan le Secrétaire d’Etat chargé de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, Mamadou Touré, annonçant dans la foulée une série d’initiatives pour redonner à ce secteur son lustre d’antan.
M. Touré s’exprimait au Centre de bureautique de communication et de gestion (CBCG) d’Abidjan-Cocody où il est allé s’enquérir du bon déroulement des épreuves écrites des examens scolaires de la formation professionnelle qui ont commencé le même jour.
Plus de 16 000 candidats sont repartis dans 44 centres de composition sur l’ensemble du territoire national ivoirien pour ces examens de fin d’année qui s’achèvent vendredi.
‘’La formation professionnelle est un secteur sinistré. Nous sommes en train de prendre une série d’initiatives qui passeront bientôt en Conseil de ministres pour essayer de redonner à la formation professionnelle ivoirien son lustre d’antan’’, a déclaré Mamadou Touré interrogé par la presse.
D’abord de façon générale, a poursuivi, le Secrétaire d’Etat, ‘’il faut que les populations comprennent que la formation professionnelle n’est pas forcément faite pour ceux qui ne réussissent pas ou les métiers issus du système de formation professionnelle peuvent être aussi des métiers permettant de gagner bien sa vie’’.
‘’Il faut qu’il ait donc beaucoup plus d’élèves qui viennent dans les centres de formation professionnelle. Ensuite les jeunes filles doivent comprendre que les métiers de formation professionnelle ne sont pas dédiés uniquement aux hommes’’, a ajouté M. Touré, annonçant une ‘’série d’initiatives’’ à prendre.
‘’Il y a une série d’initiatives que nous allons prendre. D’abord des reformes profondes au niveau structurel et au niveau de la gouvernance de nos établissements mais aussi toute une stratégie de communication à l’endroit de la population cible c’est-à-dire des jeunes et des parents pour leur faire comprendre que l’émergence tant souhaitée par le Chef de l’Etat passe aussi par la formation professionnelle’’, a encore expliqué Mamadou Touré.
Pour lui, celui qui fait aujourd’hui par exemple des études en hôtellerie, un secteur en plein essor en Côte d’Ivoire, peut ‘’gagner beaucoup plus sa vie qu’à la fonction publique’’. ‘’C’est un travail de communication que nous allons entamer dès la rentrée prochaine’’, a conclu le Secrétaire d’Etat.
LS/APA
M. Touré s’exprimait au Centre de bureautique de communication et de gestion (CBCG) d’Abidjan-Cocody où il est allé s’enquérir du bon déroulement des épreuves écrites des examens scolaires de la formation professionnelle qui ont commencé le même jour.
Plus de 16 000 candidats sont repartis dans 44 centres de composition sur l’ensemble du territoire national ivoirien pour ces examens de fin d’année qui s’achèvent vendredi.
‘’La formation professionnelle est un secteur sinistré. Nous sommes en train de prendre une série d’initiatives qui passeront bientôt en Conseil de ministres pour essayer de redonner à la formation professionnelle ivoirien son lustre d’antan’’, a déclaré Mamadou Touré interrogé par la presse.
D’abord de façon générale, a poursuivi, le Secrétaire d’Etat, ‘’il faut que les populations comprennent que la formation professionnelle n’est pas forcément faite pour ceux qui ne réussissent pas ou les métiers issus du système de formation professionnelle peuvent être aussi des métiers permettant de gagner bien sa vie’’.
‘’Il faut qu’il ait donc beaucoup plus d’élèves qui viennent dans les centres de formation professionnelle. Ensuite les jeunes filles doivent comprendre que les métiers de formation professionnelle ne sont pas dédiés uniquement aux hommes’’, a ajouté M. Touré, annonçant une ‘’série d’initiatives’’ à prendre.
‘’Il y a une série d’initiatives que nous allons prendre. D’abord des reformes profondes au niveau structurel et au niveau de la gouvernance de nos établissements mais aussi toute une stratégie de communication à l’endroit de la population cible c’est-à-dire des jeunes et des parents pour leur faire comprendre que l’émergence tant souhaitée par le Chef de l’Etat passe aussi par la formation professionnelle’’, a encore expliqué Mamadou Touré.
Pour lui, celui qui fait aujourd’hui par exemple des études en hôtellerie, un secteur en plein essor en Côte d’Ivoire, peut ‘’gagner beaucoup plus sa vie qu’à la fonction publique’’. ‘’C’est un travail de communication que nous allons entamer dès la rentrée prochaine’’, a conclu le Secrétaire d’Etat.
LS/APA
