Tiassalé - De nombreuses personnes se réclamant victimes ou parents de victimes ont bruyamment exprimé leur mécontentement lors de la cérémonie de compassion organisée à leur intention par la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité au nom du gouvernement, le Pr Mariatou Koné, vendredi à la salle des réunions de la sous-préfecture de Tiassalé.
Individuellement ou par petits groupes, ces hommes et femmes affirmaient que leurs attentes ont été déçues, certains parmi eux s’attendaient à des solutions ou des promesses de solutions à la question de la canalisation de l’eau plutôt qu’à des vivres ou des numéraires.
Pour Simplice Kouadio, par exemple, "les pluies ne sont pas encore terminées et il faut s’attendre à d’autres victimes si rien n’est fait pour régler la question de la circulation de l’eau".
Par ailleurs, un groupe de femmes affirment avoir perdu leurs maisons et leurs noms ne figurent pas sur la liste des victimes alors qu’elles avaient été enregistrées.
Au-delà de ce mécontentement, il faut dire que la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité a été très claire en disant d’entrée de jeu que ce qu’elle apportait, n’était qu’un geste de solidarité du gouvernement. Elle a aussi ajouté que cela ne pourra pas remplacer les pertes subies.
Les sites à risques sont nombreux dans une zone géographique naturellement marécageuses comme Tiassalé et N’Douci, note-t-on.
KD/kp
Individuellement ou par petits groupes, ces hommes et femmes affirmaient que leurs attentes ont été déçues, certains parmi eux s’attendaient à des solutions ou des promesses de solutions à la question de la canalisation de l’eau plutôt qu’à des vivres ou des numéraires.
Pour Simplice Kouadio, par exemple, "les pluies ne sont pas encore terminées et il faut s’attendre à d’autres victimes si rien n’est fait pour régler la question de la circulation de l’eau".
Par ailleurs, un groupe de femmes affirment avoir perdu leurs maisons et leurs noms ne figurent pas sur la liste des victimes alors qu’elles avaient été enregistrées.
Au-delà de ce mécontentement, il faut dire que la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité a été très claire en disant d’entrée de jeu que ce qu’elle apportait, n’était qu’un geste de solidarité du gouvernement. Elle a aussi ajouté que cela ne pourra pas remplacer les pertes subies.
Les sites à risques sont nombreux dans une zone géographique naturellement marécageuses comme Tiassalé et N’Douci, note-t-on.
KD/kp