Abidjan - La ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Prof Mariatou Koné a appelé jeudi les acteurs de l’autonomisation de la femme à poursuivre les actions pour l’entreprenariat de ces dernières parce qu’elles sont toujours confrontées à des difficultés de divers ordres.
« Les efforts et les actions fortes pour encourager l’entreprenariat des femmes doivent se poursuivre en ce sens que les femmes continuent à se heurter à plusieurs difficultés dont la question à l’accès aux crédits et aux ressources productives, la question des contraintes familiales, les préjugés socio-culturels et économiques, la transformation des produits en milieu rural», a relevé Mme Koné. Elle s’exprimait au cours d’un séminaire de partage de connaissances pour soutenir les femmes d’affaires africaines incluant l’atelier sur les 5s/Kaizen, à Abidjan.
A cet effet, elle a salué le soutien de l’ONU Femmes pour l’entreprenariat, l’autonomisation, le leadership et l’émergence de la femme ivoirienne. « Il est grand temps d’investir dans le potentiel des femmes afin de tirer pleinement profit de leur génie. Le présent séminaire répond à l’un des objectifs majeur de notre politique c’est-à-dire le renforcement des capacités des femmes, gage de leur autonomisation », a-t-elle indiqué.
La ministre s’est par ailleurs réjouie de la présence des femmes dans tous les secteurs d’activité qui font vivre l’économie nationale. Elle a donc appelé les femmes à se mettre ensemble pour « plus d’efficacité, d’efficience dans l’entreprenariat féminin ».
La représentante de l’ONU Femmes, Marie Goreti Nduwayo, a pour sa part invité les femmes d’affaires à servir de guide pour les autres qui sont dans les milieux ruraux et qui travaillent sans arriver à avoir le produit de leurs efforts. « Avec l’appui du ministère de la Femme, l’ONU Femme arrivera à atteindre l’objectif celui de mettre les femmes sur un plateau bien visible », a-t-elle ajouté.
Ce séminaire de partage de connaissances entres des femmes d’affaires du Sénégal, du Burkina Faso, du Ghana, du Nigéria et de la Côte d’Ivoire dure une journée. Il est co-organisé avec l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) et sera suivi d’un atelier sur la méthode japonaise « Kaizen », pour l’amélioration de la gestion des entreprises des femmes d’affaires.
ena/cmas
« Les efforts et les actions fortes pour encourager l’entreprenariat des femmes doivent se poursuivre en ce sens que les femmes continuent à se heurter à plusieurs difficultés dont la question à l’accès aux crédits et aux ressources productives, la question des contraintes familiales, les préjugés socio-culturels et économiques, la transformation des produits en milieu rural», a relevé Mme Koné. Elle s’exprimait au cours d’un séminaire de partage de connaissances pour soutenir les femmes d’affaires africaines incluant l’atelier sur les 5s/Kaizen, à Abidjan.
A cet effet, elle a salué le soutien de l’ONU Femmes pour l’entreprenariat, l’autonomisation, le leadership et l’émergence de la femme ivoirienne. « Il est grand temps d’investir dans le potentiel des femmes afin de tirer pleinement profit de leur génie. Le présent séminaire répond à l’un des objectifs majeur de notre politique c’est-à-dire le renforcement des capacités des femmes, gage de leur autonomisation », a-t-elle indiqué.
La ministre s’est par ailleurs réjouie de la présence des femmes dans tous les secteurs d’activité qui font vivre l’économie nationale. Elle a donc appelé les femmes à se mettre ensemble pour « plus d’efficacité, d’efficience dans l’entreprenariat féminin ».
La représentante de l’ONU Femmes, Marie Goreti Nduwayo, a pour sa part invité les femmes d’affaires à servir de guide pour les autres qui sont dans les milieux ruraux et qui travaillent sans arriver à avoir le produit de leurs efforts. « Avec l’appui du ministère de la Femme, l’ONU Femme arrivera à atteindre l’objectif celui de mettre les femmes sur un plateau bien visible », a-t-elle ajouté.
Ce séminaire de partage de connaissances entres des femmes d’affaires du Sénégal, du Burkina Faso, du Ghana, du Nigéria et de la Côte d’Ivoire dure une journée. Il est co-organisé avec l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) et sera suivi d’un atelier sur la méthode japonaise « Kaizen », pour l’amélioration de la gestion des entreprises des femmes d’affaires.
ena/cmas