Bingerville - La formation aux métiers du football, de la peinture, du théâtre et de la danse des enfants en situation de handicap ou en conflit avec la loi de Bingerville (banlieue Est d’Abidjan) étaient centre d’une journée récréative et éducative organisée par le ministère de la Femme, de la Protection de l’enfant et de Solidarité par le biais du programme de protection des enfants et adolescents vulnérable (PPEAV).
En collaboration avec le ministère de la Culture et de la Francophonie, cette manifestation avait pour objectif de permettre aux enfants vulnérables de sortir de la précarité pour devenir «les adultes de demain», selon la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de Solidarité, prof Mariatou Koné.
Il faut donner à ceux-ci d'arriver "à extérioriser leurs talents et susciter en eux le désir d’embrasser des métiers qu’eux-mêmes souhaitent et non ce qu’on leur propose", a-t-elle insisté, mercredi, à l’orphelinat de Bingerville.
Pour Mariatou Koné, la question de la vulnérabilité des enfants préoccupe l’Etat de Côte d’Ivoire au plus haut niveau. "Il est devenu impérieux de trouver ensemble des moyens efficaces et adaptés afin de les prémunir des fléaux qui peuvent hypothéquer leur avenir, à savoir la délinquance, la drogue et la prostitution", a-t-elle soutenu, exigeant des professionnels du domaine à être à l’écoute des enfants et leur offrir toute l’attention et toute l’affection qu’ils méritent.
Cette rencontre était à sa première édition. Elle a enregistré la participation de plusieurs centres socio-éducatifs et ONG, entre autres, l’Ecole de danses et d’échange culturels (EDEC) de Rose Marie Guiraud, le centre d’accueil Akwaba d’Abobo et le centre d’éducation spécialisée d’Adjamé, ainsi que le foyer Don Bosco et l’ONG académie de la Riviera Palmeraie.
sn/nmfa/cmas
En collaboration avec le ministère de la Culture et de la Francophonie, cette manifestation avait pour objectif de permettre aux enfants vulnérables de sortir de la précarité pour devenir «les adultes de demain», selon la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de Solidarité, prof Mariatou Koné.
Il faut donner à ceux-ci d'arriver "à extérioriser leurs talents et susciter en eux le désir d’embrasser des métiers qu’eux-mêmes souhaitent et non ce qu’on leur propose", a-t-elle insisté, mercredi, à l’orphelinat de Bingerville.
Pour Mariatou Koné, la question de la vulnérabilité des enfants préoccupe l’Etat de Côte d’Ivoire au plus haut niveau. "Il est devenu impérieux de trouver ensemble des moyens efficaces et adaptés afin de les prémunir des fléaux qui peuvent hypothéquer leur avenir, à savoir la délinquance, la drogue et la prostitution", a-t-elle soutenu, exigeant des professionnels du domaine à être à l’écoute des enfants et leur offrir toute l’attention et toute l’affection qu’ils méritent.
Cette rencontre était à sa première édition. Elle a enregistré la participation de plusieurs centres socio-éducatifs et ONG, entre autres, l’Ecole de danses et d’échange culturels (EDEC) de Rose Marie Guiraud, le centre d’accueil Akwaba d’Abobo et le centre d’éducation spécialisée d’Adjamé, ainsi que le foyer Don Bosco et l’ONG académie de la Riviera Palmeraie.
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