En partenariat avec l'Unesco, l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la culture et la science, la Côte d’Ivoire commémore et identifie ses lieux de mémoire liés à la traite négrière. Les recherches historiques sont en cours, mais pour l'heure six localités ont déjà été identifiées. La première se situe à Kanga Nianzé. Reportage.
C'est au bord de la rivière de Kanga Nianzé que les captifs prenaient leur dernier bain avant l'embarcation. Le cours d'eau était et est toujours sacré, explique Pierre, un fils du village. « C'est une rivière de guérison. Avant, il y avait une route ici et lorsque les esclaves arrivaient là fatigués et malades, ils prenaient un bain et retrouvaient la santé et continuaient. » suite de l'article sur RFI
C'est au bord de la rivière de Kanga Nianzé que les captifs prenaient leur dernier bain avant l'embarcation. Le cours d'eau était et est toujours sacré, explique Pierre, un fils du village. « C'est une rivière de guérison. Avant, il y avait une route ici et lorsque les esclaves arrivaient là fatigués et malades, ils prenaient un bain et retrouvaient la santé et continuaient. » suite de l'article sur RFI