Séguéla – Intervenant au cours de la première édition de l’"Académie de la jeunesse active du Woroba", le représentant de la fondation Friedrich-Naumann pour la liberté, N’Dehi Magloire, a fait savoir que la question financière n’est pas la principale cause de l’immigration clandestine en Côte d’Ivoire.
"La première raison pour laquelle les gens partent, ils disent que c’est la recherche d’un bien-être", a-t-il tiré d’une étude menée en partenariat avec l’Organisation internationale des migrations (OIM), révélant que des individus paient trois à cinq millions de francs CFA, voire huit millions pour effectuer ce voyage périlleux pour lequel ils ne sont parfois pas sûrs d’arriver à destination.
La recherche d’un bien-être au-delà de la Méditerranée s’explique, au dire de ces candidats à l’immigration clandestine, par le fait que l’environnement des affaires ne soit pas propice. "On peut réussir ici aussi", a déclaré M. N’Dehi qui a appelé les gouvernants et les populations à lutter inlassablement contre la corruption et à déconstruire la perception dans l’imaginaire collectif qui fait croire que c’est ce qui vient de là-bas qui est bon.
Pour ce faire, il a recommandé, de promouvoir les modèles locaux pour montrer que ceux qui vivent, travaillent ici ont réussi.
Les jeunes, par la voix du président de la jeunesse communale, Bakayoko Gahoussou, se sont engagés à dire "Stop à l’immigration clandestine".
Cette édition de l’académie de la jeunesse active, initiée par la Jeunesse unie pour la cohésion et l’émergence du Woroba (JUCEW) a été l’occasion de formations sur l’entreprenariat et la gestion des associations au terme desquelles des jeunes dynamiques dans les domaines du transport, de l’agriculture et de l’élevage ont été récompensés.
(AIP)
kkp/kam
"La première raison pour laquelle les gens partent, ils disent que c’est la recherche d’un bien-être", a-t-il tiré d’une étude menée en partenariat avec l’Organisation internationale des migrations (OIM), révélant que des individus paient trois à cinq millions de francs CFA, voire huit millions pour effectuer ce voyage périlleux pour lequel ils ne sont parfois pas sûrs d’arriver à destination.
La recherche d’un bien-être au-delà de la Méditerranée s’explique, au dire de ces candidats à l’immigration clandestine, par le fait que l’environnement des affaires ne soit pas propice. "On peut réussir ici aussi", a déclaré M. N’Dehi qui a appelé les gouvernants et les populations à lutter inlassablement contre la corruption et à déconstruire la perception dans l’imaginaire collectif qui fait croire que c’est ce qui vient de là-bas qui est bon.
Pour ce faire, il a recommandé, de promouvoir les modèles locaux pour montrer que ceux qui vivent, travaillent ici ont réussi.
Les jeunes, par la voix du président de la jeunesse communale, Bakayoko Gahoussou, se sont engagés à dire "Stop à l’immigration clandestine".
Cette édition de l’académie de la jeunesse active, initiée par la Jeunesse unie pour la cohésion et l’émergence du Woroba (JUCEW) a été l’occasion de formations sur l’entreprenariat et la gestion des associations au terme desquelles des jeunes dynamiques dans les domaines du transport, de l’agriculture et de l’élevage ont été récompensés.
(AIP)
kkp/kam