Abidjan - La ministre de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable, Anne Désirée Ouloto, s’est engagée à tout mettre en œuvre pour faire aboutir le décret pris par le gouvernement le 22 mai 2013 pour lutter contre la production, l’utilisation et la commercialisation des sachets plastiques.
Elle l’a exprimé samedi à l’amphithéâtre du ministère des Affaires Etrangères à Abidjan, à l’occasion de la commémoration officielle de la journée mondiale sans sachets plastiques, célébrée le 03 juillet de chaque année. « Il nous faut donc, ensemble, poursuivre notre combat pour un monde sans sachets plastiques dangereux. Nos initiatives doivent être encouragées, renforcées et poursuivies, car il s’agit bien d’un processus irréversible », a-t-elle déclaré.
Pour la ministre, l’objectif de la lutte contre les sachets plastiques n’est pas de porter un discrédit à l’activité industrielle et commerciale mais de construire un développement harmonieux, un cadre de vie sain, un essor économique soutenu, ainsi que des populations en bonne santé.
Anne Ouloto a expliqué que l’usage de ces sachets, compromettent l’agriculture par l’imperméabilisation des sols, menace les troupeaux, les animaux marins et les oiseaux. « Les sachets plastiques dégradent l’aspect de nos villes, compromettent le tourisme et le développement économique », a-t-elle regretté.
Le ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a aux côtés de sa collègue Anne Ouloto, traduit sa détermination à traquer ceux qui foulent au pied, le décret interdisant la production, l’importation, la commercialisation, la détention et l’utilisation des sachets plastiques en Côte d’Ivoire.
« Construire nos villes et villages et les tenir débarrassés de l’invasion malfaisante des sachets plastiques, tels doit être le credo de tous, dans la dynamique de l’action citoyenne fort honorable dénommée grand-ménage. Y arriver est l’affaire de tous et c’est à un sursaut solidaire et actif que nous y arriverons », a-t-il déclaré.
gak/kam
Elle l’a exprimé samedi à l’amphithéâtre du ministère des Affaires Etrangères à Abidjan, à l’occasion de la commémoration officielle de la journée mondiale sans sachets plastiques, célébrée le 03 juillet de chaque année. « Il nous faut donc, ensemble, poursuivre notre combat pour un monde sans sachets plastiques dangereux. Nos initiatives doivent être encouragées, renforcées et poursuivies, car il s’agit bien d’un processus irréversible », a-t-elle déclaré.
Pour la ministre, l’objectif de la lutte contre les sachets plastiques n’est pas de porter un discrédit à l’activité industrielle et commerciale mais de construire un développement harmonieux, un cadre de vie sain, un essor économique soutenu, ainsi que des populations en bonne santé.
Anne Ouloto a expliqué que l’usage de ces sachets, compromettent l’agriculture par l’imperméabilisation des sols, menace les troupeaux, les animaux marins et les oiseaux. « Les sachets plastiques dégradent l’aspect de nos villes, compromettent le tourisme et le développement économique », a-t-elle regretté.
Le ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Promotion des PME, Souleymane Diarrassouba, a aux côtés de sa collègue Anne Ouloto, traduit sa détermination à traquer ceux qui foulent au pied, le décret interdisant la production, l’importation, la commercialisation, la détention et l’utilisation des sachets plastiques en Côte d’Ivoire.
« Construire nos villes et villages et les tenir débarrassés de l’invasion malfaisante des sachets plastiques, tels doit être le credo de tous, dans la dynamique de l’action citoyenne fort honorable dénommée grand-ménage. Y arriver est l’affaire de tous et c’est à un sursaut solidaire et actif que nous y arriverons », a-t-il déclaré.
gak/kam