Actuellement, les routes constituent une plaie pour la Côte d'Ivoire. Pourtant, ce sont des dégradations généralisées de voiries dans les différentes communes qui ne peuvent échapper à l’œil des décideurs.
Le samedi 8 juillet 2017, il nous a été donné de voir et de vivre le calvaire des automobilistes et autres transporteurs qui empruntent l'axe Gesco (depuis l'échangeur de l'autoroute du Nord ou depuis la brigade de la gendarmerie de Gesco). De moins de 65 km, l'itinéraire Gesco - Carrefour Côtière Grand-Lahou, qu'on aurait pu parcourir en moins d'une heure de conduite, nous l'avons fait en plus de deux heures. Routes infernales ! On peut l'écrire sans exagérer. Les routes sont détériorées à tous les niveaux. Les chaussées sont crevassées et pleines de nids-de-poule (si la langue française le permettait on pourrait écrire nids-d'autruche pour coller à la réalité!). Réservés aux piétons, les trottoirs, tous aussi abîmés, sont squattés violemment par des automobilistes devenus hors-la-loi par la force des choses
Le samedi 8 juillet 2017, il nous a été donné de voir et de vivre le calvaire des automobilistes et autres transporteurs qui empruntent l'axe Gesco (depuis l'échangeur de l'autoroute du Nord ou depuis la brigade de la gendarmerie de Gesco). De moins de 65 km, l'itinéraire Gesco - Carrefour Côtière Grand-Lahou, qu'on aurait pu parcourir en moins d'une heure de conduite, nous l'avons fait en plus de deux heures. Routes infernales ! On peut l'écrire sans exagérer. Les routes sont détériorées à tous les niveaux. Les chaussées sont crevassées et pleines de nids-de-poule (si la langue française le permettait on pourrait écrire nids-d'autruche pour coller à la réalité!). Réservés aux piétons, les trottoirs, tous aussi abîmés, sont squattés violemment par des automobilistes devenus hors-la-loi par la force des choses