Abidjan - Un atelier sous régional de partage des résultats des stratégies politiques d’économie de carburant s’est ouvert à Abidjan à l’initiative du projet Initiative mondiale d’économie de carburant (GFEI), avec en point de mire, la réduction de la consommation de carburant et les émissions de CO2 des véhicules automobiles neufs de moitié d’ici 2030 et de l’ensemble du Parc automobile d’ici 2050, conformément aux objectifs assignés à GFEI.
Procédant mardi à l’ouverture de cet atelier, le directeur de cabinet adjoint du ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable (MINSEDD), Mme Nasséré Kaba, a expliqué que les évolutions de la technologie et celle de la qualité des carburants d’automobile ont permis d’améliorer sensiblement la performance écologique individuelle des voitures. En particulier, les émissions réduites.
« L’efficacité énergétique des carburants a augmenté et une baisse du nombre de véhicules met en péril tous ces efforts et des pics de taux de concentration néfaste pour la santé et l’écosystème sont observés dans le monde », a-t-elle fait remarquer.
La représentante de la ministre Anne Désirée Ouloto a expliqué aux participants, membres de la CEDEAO, qu’il est nécessaire dans un esprit de coopération, de partager les expériences, les résultats et les difficultés à l’effet de permettre d’apprendre des uns des autres mais aussi et surtout de propulser les efforts dans le domaine.
La Représentante ouest-africaine de ONU Environnement, Angèle Luh a insisté sur la nécessité pour les pays de la CEDEAO d’aller vers du carburant plus propre, en contrôlant les importations de véhicules.
« La Commission de la CEDEAO entend continuer de jouer le rôle qui est le sien dans la mise en œuvre de l’Initiative mondiale pour la promotion des économies de carburant, tout en prenant aussi en compte les mesures nécessaires pour une meilleure implication de ses Etats membres parties au projet », a rassuré pour sa part, le représentant de la commission de la CEDEAO, Bernard Koffi.
Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), le secteur du transport représente environ 50% de la consommation mondiale d’énergie. Le transport consomme 25% de l’énergie mondiale et est responsable de 23% des émissions globales de dioxyde de carbone. Ce secteur a le taux de croissance le plus rapide en matière d’émissions de gaz à effet de serre, soit 2,5% par an jusqu’en 2020.
(AIP)
gak/cmas
Procédant mardi à l’ouverture de cet atelier, le directeur de cabinet adjoint du ministère de la Salubrité, de l’Environnement et du Développement durable (MINSEDD), Mme Nasséré Kaba, a expliqué que les évolutions de la technologie et celle de la qualité des carburants d’automobile ont permis d’améliorer sensiblement la performance écologique individuelle des voitures. En particulier, les émissions réduites.
« L’efficacité énergétique des carburants a augmenté et une baisse du nombre de véhicules met en péril tous ces efforts et des pics de taux de concentration néfaste pour la santé et l’écosystème sont observés dans le monde », a-t-elle fait remarquer.
La représentante de la ministre Anne Désirée Ouloto a expliqué aux participants, membres de la CEDEAO, qu’il est nécessaire dans un esprit de coopération, de partager les expériences, les résultats et les difficultés à l’effet de permettre d’apprendre des uns des autres mais aussi et surtout de propulser les efforts dans le domaine.
La Représentante ouest-africaine de ONU Environnement, Angèle Luh a insisté sur la nécessité pour les pays de la CEDEAO d’aller vers du carburant plus propre, en contrôlant les importations de véhicules.
« La Commission de la CEDEAO entend continuer de jouer le rôle qui est le sien dans la mise en œuvre de l’Initiative mondiale pour la promotion des économies de carburant, tout en prenant aussi en compte les mesures nécessaires pour une meilleure implication de ses Etats membres parties au projet », a rassuré pour sa part, le représentant de la commission de la CEDEAO, Bernard Koffi.
Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), le secteur du transport représente environ 50% de la consommation mondiale d’énergie. Le transport consomme 25% de l’énergie mondiale et est responsable de 23% des émissions globales de dioxyde de carbone. Ce secteur a le taux de croissance le plus rapide en matière d’émissions de gaz à effet de serre, soit 2,5% par an jusqu’en 2020.
(AIP)
gak/cmas