La commune de Séguéla (Nord-ouest, région du Worodougou) disposera bientôt d’une zone industrielle d’une superficie de 43 ha, a annoncé le maire Diomandé Lacina au cours d’une rencontre avec les populations à la salle des mariages.
Située sur l’axe menant à Kani, cette zone industrielle sera aménagée avec un financement de la Banque mondiale, a déclaré samedi le maire aux représentants de 21 villages présents.
Elle abritera en premier lieu une unité de transformation d’anacarde, la principale spéculation agricole du département, pour juguler un tant soit peu le chômage et la propension effrénée de nombreux jeunes à l’immigration clandestine, a indiqué le premier magistrat de la commune.
"Je suis témoin de vos engagements aujourd’hui. Nous souhaitons qu’il n’y ait pas de polémique pour que notre zone industrielle soit une réalité, pour que nos jeunes qui sont là, qui veulent aller coûte que coûte à l’étranger, espérant trouver le bonheur là-bas, tous ces jeunes qui meurent en cours de chemin, ne veuillent plus continuer cette marche vers la mort", a déclaré la secrétaire générale de la préfecture, Traoré née Moïse-Henri Imelda Marguerite Marie Doussou, qui a réitéré l’assurance donnée par le directeur régional de l’Agriculture quant à l’indemnisation de tous ceux qui seront impactés par le projet.
Au total, ce sont quatre villes ivoiriennes, à savoir Bouaké, Korhogo, Boundiali et Séguéla qui bénéficient de l’instauration d’unités de transformation de noix de cajou, note-t-on.
Kkp/kp
Située sur l’axe menant à Kani, cette zone industrielle sera aménagée avec un financement de la Banque mondiale, a déclaré samedi le maire aux représentants de 21 villages présents.
Elle abritera en premier lieu une unité de transformation d’anacarde, la principale spéculation agricole du département, pour juguler un tant soit peu le chômage et la propension effrénée de nombreux jeunes à l’immigration clandestine, a indiqué le premier magistrat de la commune.
"Je suis témoin de vos engagements aujourd’hui. Nous souhaitons qu’il n’y ait pas de polémique pour que notre zone industrielle soit une réalité, pour que nos jeunes qui sont là, qui veulent aller coûte que coûte à l’étranger, espérant trouver le bonheur là-bas, tous ces jeunes qui meurent en cours de chemin, ne veuillent plus continuer cette marche vers la mort", a déclaré la secrétaire générale de la préfecture, Traoré née Moïse-Henri Imelda Marguerite Marie Doussou, qui a réitéré l’assurance donnée par le directeur régional de l’Agriculture quant à l’indemnisation de tous ceux qui seront impactés par le projet.
Au total, ce sont quatre villes ivoiriennes, à savoir Bouaké, Korhogo, Boundiali et Séguéla qui bénéficient de l’instauration d’unités de transformation de noix de cajou, note-t-on.
Kkp/kp
