Une semaine après la fin des consultations communautaires menées sur le territoire national, le Ministère de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité envisage procéder, sous peu, au lancement des réparations communautaire. En prélude à ce lancement, une équipe dudit Ministère, appuyée par ses partenaires techniques et financiers que sont le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et le Fonds des Nations Unies pour la Population (FNUAP), s’attèle à l’élaboration du plan de réparation.
Pour y parvenir, un atelier les a réunis du jeudi 20 au samedi 22 juillet 2017 à Dabou. Durant ces trois jours, il a été question d’harmoniser les propositions de réparations pour les communautés des dix-huit localités visitées sur l’ensemble du pays. Ces propositions portent, entre autres, sur les réparations matérielles, les réparations symboliques, les idées de projets et les besoins spécifiques aux femmes. « A l’issue de cette étape, un plan de réparation sera soumis à l’examen et à la validation des partenaires nationaux et internationaux du Ministère au cours d’un atelier. Y seront conviés, les autorités administratives et politiques, des représentants des organisations de femmes, de jeunes, les leaders communautaires, les chefs de village des différentes localités visitées », a précisé Docteur Kam Oleh, de la Direction de l’assistance aux victimes.
Pour rappel, les réparations communautaires comprennent un volet de développement et un volet symbolique. Le volet de développement vise à réparer les dommages et à répondre aux besoins sociaux et économiques des communautés concernées. Quant à la dimension symbolique, elle vise à reconnaître le préjudice et à préserver la mémoire à travers l’organisation d’activités commémoratives et la construction de monuments commémoratifs.
Pour y parvenir, un atelier les a réunis du jeudi 20 au samedi 22 juillet 2017 à Dabou. Durant ces trois jours, il a été question d’harmoniser les propositions de réparations pour les communautés des dix-huit localités visitées sur l’ensemble du pays. Ces propositions portent, entre autres, sur les réparations matérielles, les réparations symboliques, les idées de projets et les besoins spécifiques aux femmes. « A l’issue de cette étape, un plan de réparation sera soumis à l’examen et à la validation des partenaires nationaux et internationaux du Ministère au cours d’un atelier. Y seront conviés, les autorités administratives et politiques, des représentants des organisations de femmes, de jeunes, les leaders communautaires, les chefs de village des différentes localités visitées », a précisé Docteur Kam Oleh, de la Direction de l’assistance aux victimes.
Pour rappel, les réparations communautaires comprennent un volet de développement et un volet symbolique. Le volet de développement vise à réparer les dommages et à répondre aux besoins sociaux et économiques des communautés concernées. Quant à la dimension symbolique, elle vise à reconnaître le préjudice et à préserver la mémoire à travers l’organisation d’activités commémoratives et la construction de monuments commémoratifs.
