Pr Koné Mariatou propose quatre axes spécifiques pour favoriser une meilleure contribution des femmes dans le développement économique et social.
Suite la présentation du cinquième rapport de la Banque mondiale intitulé « Et si l’émergence était une femme » ce lundi 24 juillet, à l'auditorium de la Primature, à Abidjan-Plateau, la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Pr Mariatou Koné, a animé un panel sur la problématique de la femme pour atteindre l’émergence. Elle avait à ses côtés Pr Bernadette Dia Kamgnia, économiste au Capec, Mariam Dao Gabala, directrice générale de Oiko crédit, Dr Sehi Tra Bi Jamal, sociologue et Nathalie Soro, universitaire.
A la question de savoir si l’émergence est une femme, Mariam Dao Gabala a répondu par l’affirmative. D’autant plus que- se basant sur le rapport de la Banque mondiale- la Côte d’Ivoire pourra générer près de 6 à 8 milliards US si l’investissement dans l’égalité du genre est plus renforcé. Elle pense que l’éducation, l’investissement peuvent favoriser une meilleure productivité des entreprises féminines. Dr Sehi Tra Bi Jamal, lui, fait remarquer que les femmes dominent le secteur informel et elles font montre « d’un fighting spirit ».
Suite la présentation du cinquième rapport de la Banque mondiale intitulé « Et si l’émergence était une femme » ce lundi 24 juillet, à l'auditorium de la Primature, à Abidjan-Plateau, la ministre de la Femme, de la Protection de l’enfant et de la Solidarité, Pr Mariatou Koné, a animé un panel sur la problématique de la femme pour atteindre l’émergence. Elle avait à ses côtés Pr Bernadette Dia Kamgnia, économiste au Capec, Mariam Dao Gabala, directrice générale de Oiko crédit, Dr Sehi Tra Bi Jamal, sociologue et Nathalie Soro, universitaire.
A la question de savoir si l’émergence est une femme, Mariam Dao Gabala a répondu par l’affirmative. D’autant plus que- se basant sur le rapport de la Banque mondiale- la Côte d’Ivoire pourra générer près de 6 à 8 milliards US si l’investissement dans l’égalité du genre est plus renforcé. Elle pense que l’éducation, l’investissement peuvent favoriser une meilleure productivité des entreprises féminines. Dr Sehi Tra Bi Jamal, lui, fait remarquer que les femmes dominent le secteur informel et elles font montre « d’un fighting spirit ».