Abidjan – Le gouvernement ivoirien a décidé de mettre en œuvre une politique d’équité des genres pour lutter contre les inégalités à l’encontre des femmes sur le marché du travail, dans l’éducation et la santé, a annoncé vendredi la ministre de la Femme de la protection de l’Enfant et de la Solidarité, Mariatou Koné à l’occasion de la commémoration de la journée internationale de la femme africaine, célébrée le 31 juillet.
Selon la ministre, malgré toutes les avancées dans le domaine de la promotion féminine, la femme ivoirienne est toujours victimes de discriminations liées aux pesanteurs socioculturelles et aux facteurs économiques.
Pour remédier à cette situation, le gouvernement préconise en outre d’opérationnaliser le Conseil national de la femme et d’assurer sa décentralisation pour en faire un outil au service de toutes les femmes de Côte d’Ivoire.
Elle a également exprimé la volonté du président de la République, Alassane Ouattara, et du Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, de mettre la question des droits de la femme et de la parité entre l’homme et la femme en priorité absolue, relevant par ailleurs que cet vœu s’est concrétiser par la nomination de trois femmes au Conseil constitutionnel.
La journée internationale de la femme africaine célébrée depuis 1962, est une occasion d’avoir une pensée pour les pionnières du panafricanisme. Elle est un symbole de la contribution des femmes africaines à la liberté, à l’égalité , à la justice et à l’émancipation de leur continent.
(AIP )
tad/kam
Selon la ministre, malgré toutes les avancées dans le domaine de la promotion féminine, la femme ivoirienne est toujours victimes de discriminations liées aux pesanteurs socioculturelles et aux facteurs économiques.
Pour remédier à cette situation, le gouvernement préconise en outre d’opérationnaliser le Conseil national de la femme et d’assurer sa décentralisation pour en faire un outil au service de toutes les femmes de Côte d’Ivoire.
Elle a également exprimé la volonté du président de la République, Alassane Ouattara, et du Premier ministre, Amadou Gon Coulibaly, de mettre la question des droits de la femme et de la parité entre l’homme et la femme en priorité absolue, relevant par ailleurs que cet vœu s’est concrétiser par la nomination de trois femmes au Conseil constitutionnel.
La journée internationale de la femme africaine célébrée depuis 1962, est une occasion d’avoir une pensée pour les pionnières du panafricanisme. Elle est un symbole de la contribution des femmes africaines à la liberté, à l’égalité , à la justice et à l’émancipation de leur continent.
(AIP )
tad/kam