Korhogo – Le permis de conduire sera exigé aux motocyclistes à partir du 1er octobre à Korhogo, a révélé le préfet de région et du département de Korhogo, Daouda Ouattara, dans son adresse lundi, à la population locale à l’occasion de la célébration du 57è anniversaire de l’indépendance du pays.
"En plus de l’obligation du port du casque, il sera exigé à tout conducteur de véhicules motorisés, le permis de conduire et l’assurance, à compter 1er octobre 2017", a-t-il affirmé, provoquant les chuchotements d’une assistance surprise.
Le préfet Daouda Ouattara a ajouté que des négociations seront engagées avec les auto-écoles pour réduire les coûts d’acquisition du permis de conduire. Il a invité "ceux qui ignorent le code de la route et qui n’ont pas de permis de conduire à se mettre à jour".
Depuis plus d’une décennie, le nombre de motos en circulation a connu une augmentation exponentielle dans le Nord du pays. Dans la ville de Korhogo, quelque 3000 motos-taxis sont en circulation, constituant le premier moyen de déplacement, très loin devant les véhicules.
En juin 2016, un arrêté préfectoral a imposé le port de casques aux motocyclistes. Dans la foulée, l’obligation de disposer d’un contrat d’assurance-moto et celle d’équiper les engins de rétroviseurs ont été réactualisées.
Ces mesures devraient contribuer à assurer plus de sécurité à ses concitoyens, avait-il justifié. Mais après une véritable traque les premiers moments, elles semblent être aujourd’hui tombées aux oubliettes puisque les conducteurs de motos ont repris l’habitude de rouler sans casque.
Kaem/akn/kp
"En plus de l’obligation du port du casque, il sera exigé à tout conducteur de véhicules motorisés, le permis de conduire et l’assurance, à compter 1er octobre 2017", a-t-il affirmé, provoquant les chuchotements d’une assistance surprise.
Le préfet Daouda Ouattara a ajouté que des négociations seront engagées avec les auto-écoles pour réduire les coûts d’acquisition du permis de conduire. Il a invité "ceux qui ignorent le code de la route et qui n’ont pas de permis de conduire à se mettre à jour".
Depuis plus d’une décennie, le nombre de motos en circulation a connu une augmentation exponentielle dans le Nord du pays. Dans la ville de Korhogo, quelque 3000 motos-taxis sont en circulation, constituant le premier moyen de déplacement, très loin devant les véhicules.
En juin 2016, un arrêté préfectoral a imposé le port de casques aux motocyclistes. Dans la foulée, l’obligation de disposer d’un contrat d’assurance-moto et celle d’équiper les engins de rétroviseurs ont été réactualisées.
Ces mesures devraient contribuer à assurer plus de sécurité à ses concitoyens, avait-il justifié. Mais après une véritable traque les premiers moments, elles semblent être aujourd’hui tombées aux oubliettes puisque les conducteurs de motos ont repris l’habitude de rouler sans casque.
Kaem/akn/kp