Abidjan - Le sanctuaire marial de Lourdes (France) qui accueille plus de 25 000 pèlerins ce mardi pour le traditionnel pèlerinage de l'Assomption, est encadré par un dispositif de sécurité encore important même s'il a été réduit par rapport à 2016, année de plusieurs attentats, selon la préfecture de la localité.
Les quelque 300 policiers, gendarmes et militaires mobilisés cette année patrouilleront dans la ville, tandis que la police de l'air et des frontières survolera le lieu saint. La circulation restera interdite une bonne partie de la journée aux abords du sanctuaire.
Les fidèles venus pour la messe de 10H, devaient slalomer entre les engins de chantier et les blocs de béton installés aux entrées de l'immense sanctuaire de Lourdes, afin de stopper toute éventuelle attaque. Ces 300 membres des forces de sécurité environ ont été mobilisés pour sécuriser la zone, même s'ils sont 200 de moins que l'an dernier.
En effet, à cette époque, un dispositif exceptionnel avait été mis en place après l'assassinat le 26 juillet 2016 du père Jacques Hamel, en pleine messe dans son église, près de Rouen, peu après l'attentat du 14 juillet sur la promenade des Anglais à Nice (86 morts et plus de 400 blessés).
"On reste à un niveau de menace élevée et diffuse sur tout le territoire national. Même si Lourdes n'est pas particulièrement ciblée, nous la prenons en compte", a indiqué la préfète Béatrice Lagarde.
"La sécurité ne doit pas être vue comme une gêne par les pèlerins, mais comme une possibilité de mieux vivre leur démarche, leur recueillement", souligne le père André Cabes, recteur du sanctuaire.
tls/fmo
Les quelque 300 policiers, gendarmes et militaires mobilisés cette année patrouilleront dans la ville, tandis que la police de l'air et des frontières survolera le lieu saint. La circulation restera interdite une bonne partie de la journée aux abords du sanctuaire.
Les fidèles venus pour la messe de 10H, devaient slalomer entre les engins de chantier et les blocs de béton installés aux entrées de l'immense sanctuaire de Lourdes, afin de stopper toute éventuelle attaque. Ces 300 membres des forces de sécurité environ ont été mobilisés pour sécuriser la zone, même s'ils sont 200 de moins que l'an dernier.
En effet, à cette époque, un dispositif exceptionnel avait été mis en place après l'assassinat le 26 juillet 2016 du père Jacques Hamel, en pleine messe dans son église, près de Rouen, peu après l'attentat du 14 juillet sur la promenade des Anglais à Nice (86 morts et plus de 400 blessés).
"On reste à un niveau de menace élevée et diffuse sur tout le territoire national. Même si Lourdes n'est pas particulièrement ciblée, nous la prenons en compte", a indiqué la préfète Béatrice Lagarde.
"La sécurité ne doit pas être vue comme une gêne par les pèlerins, mais comme une possibilité de mieux vivre leur démarche, leur recueillement", souligne le père André Cabes, recteur du sanctuaire.
tls/fmo