Mercredi 16 août 2017 lorsque nous arrivons aux 2 plateaux entre l’ex station mobile et Agban, aux environs de 21 h, ce sont des riverains encore sous le choc que nous rencontrons.
Oulai Hervé chauffeur de taxi communal communément appelé Woro-Woro nous raconte les faits vécus en fin d’après midi : «Moi j’étais arrivé au niveau de la pharmacie des Grâces lorsque nous avons constaté une débandade totale. Soudain nous avons aperçu des jeunes, je dirais même des enfants armés de machettes. Certains parmi eux les aiguisaient sur le goudron. Nous avons tous paniqués, avant de prendre la fuite. Toutes les voitures étaient bloquées parce qu’il y avait également un grand embouteillage. C’était des microbes qui pourchassaient aussi des passants. Il y’a eu des blessés. Je crois que la Côte d’Ivoire est vraiment foutue ».
La scène qui s’est passée autour de la pharmacie des Grâces des 2 plateaux jusqu’à carrefour Agban a laissé également dame Colette Affoué vendeuse d’attieké sans voix : « On m’a toujours parlé des microbes, mais c’est aujourd’hui que j’ai vu à quel point ils sont dangereux. Il y a une dame que j’ai vu qui saignait à la tête. La police est venue plus tard » .
CD
Oulai Hervé chauffeur de taxi communal communément appelé Woro-Woro nous raconte les faits vécus en fin d’après midi : «Moi j’étais arrivé au niveau de la pharmacie des Grâces lorsque nous avons constaté une débandade totale. Soudain nous avons aperçu des jeunes, je dirais même des enfants armés de machettes. Certains parmi eux les aiguisaient sur le goudron. Nous avons tous paniqués, avant de prendre la fuite. Toutes les voitures étaient bloquées parce qu’il y avait également un grand embouteillage. C’était des microbes qui pourchassaient aussi des passants. Il y’a eu des blessés. Je crois que la Côte d’Ivoire est vraiment foutue ».
La scène qui s’est passée autour de la pharmacie des Grâces des 2 plateaux jusqu’à carrefour Agban a laissé également dame Colette Affoué vendeuse d’attieké sans voix : « On m’a toujours parlé des microbes, mais c’est aujourd’hui que j’ai vu à quel point ils sont dangereux. Il y a une dame que j’ai vu qui saignait à la tête. La police est venue plus tard » .
CD