Le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale a parrainé les assises de l’Association des professionnels des ressources humaines.
A la faveur de la 7e édition de l’université des ressources humaines qu’organise l’Association des professionnels des ressources humaines de Côte d’ivoire (Aprhci), le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean-Claude Kouassi, a insisté sur l’importance de l’homme comme une ressource à capitaliser en la développant. Son appel a été lancé hier, à la cérémonie d’ouverture de cette rencontre qui se déroule à Grand-Bassam du 17 au 19 août. Il a plaidé pour « la nécessité d’investir dans le développement du capital humain et d’avoir une approche flexible des ressources humaines en vue de permettre aux travailleurs de s’adapter aux changements et aux mutations du monde du travail ». En matière de personnel de qualité, il a souligné que le pays en dispose. Et de; pour matérialiser la vision, de l’État à aller de l’avant à travers une gestion efficace des travailleurs par le décret du 12 octobre 2011. Par lequel le poste de directeur des ressources humaines a été institué dans tous les ministères. Ces derniers qui gèrent près 300 000 fonctionnaires et agents de l’État ont pour mission non seulement de mettre en œuvre une gestion prévisionnelle des effectifs mais aussi une politique effective de gestion des ressources humaines. Le ministre a saisi cette tribune pour évoquer que ce secteur connaît des mutations économiques, technologiques et sociologiques. Ce qui n’est pas sans conséquence sur le monde de l’entreprise. « Face à la mondialisation et à la concurrence, face aux pressions sociétales et syndicales, les employeurs recherchent, désormais, 0s travailleurs plus flexibles, mieux formés, plus conquérants, capables d’assimiler dé nouvelles compétences et de nouvelles connaissances ».
Abordant l’idée répandue selon laquelle le secteur privé regorgerait d’un personnel de qualité à contrario du service public qui ne disposerait que d’un personnel de qualité médiocre, le parrain a tranché. Selon lui, les deux secteurs ont des agents de qualité. D’où cette recommandation.
« Je reste donc persuadé que seule la mutualisation des intelligences, des expériences et des moyens en matière de gestion des ressources humaines est susceptible de répondre aux exigences d’une gestion axée sur les résultats, tant, pour l’entreprise que pour l’État ». Non sans rappeler que la planification, le dialogue, le contrôle sont les maitres-mots des gestionnaires des ressources humaines.
Pour le président de l’association, Alhouceine Sylla, l’objectif visé est de permettre à chacun de réaliser au mieux ses missions de manière durable. « La gestion des compétences est apparue depuis longtemps comme l’outil incontournable de différenciation et de réussite pour les entreprises ». Ajoutant « naturellement, cela interpelle les gestionnaires des ressources humaines qui doivent comprendre et s’approprier cet outil d’affronter la compétitivité et accompagner leurs entreprises vers un développement plus performant».
Ce moment de célébration de la fonction ressources humaines dans les entreprises rime avec leur participation à la problématique sur l’emploi et la promotion du capital humain, affirmera Alhouceine Sylla. L’association aura dix ans d’existence l’an prochain. Des années qui, selon lui, sont rythmées par des réflexions et engagements afin de contribuer à la valorisation de leur profession en Côte d’ivoire.
Pour sa part, Daniel Wognin, 2e adjoint au maire de Grand-Bassam, affirmera que la formation est un atout non négligeable. Ainsi, le partage d’expériences contribuera à être des managers avertis. Plusieurs responsables d’entreprises et des ressources humaines participent à ces assises.
A la faveur de la 7e édition de l’université des ressources humaines qu’organise l’Association des professionnels des ressources humaines de Côte d’ivoire (Aprhci), le ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Jean-Claude Kouassi, a insisté sur l’importance de l’homme comme une ressource à capitaliser en la développant. Son appel a été lancé hier, à la cérémonie d’ouverture de cette rencontre qui se déroule à Grand-Bassam du 17 au 19 août. Il a plaidé pour « la nécessité d’investir dans le développement du capital humain et d’avoir une approche flexible des ressources humaines en vue de permettre aux travailleurs de s’adapter aux changements et aux mutations du monde du travail ». En matière de personnel de qualité, il a souligné que le pays en dispose. Et de; pour matérialiser la vision, de l’État à aller de l’avant à travers une gestion efficace des travailleurs par le décret du 12 octobre 2011. Par lequel le poste de directeur des ressources humaines a été institué dans tous les ministères. Ces derniers qui gèrent près 300 000 fonctionnaires et agents de l’État ont pour mission non seulement de mettre en œuvre une gestion prévisionnelle des effectifs mais aussi une politique effective de gestion des ressources humaines. Le ministre a saisi cette tribune pour évoquer que ce secteur connaît des mutations économiques, technologiques et sociologiques. Ce qui n’est pas sans conséquence sur le monde de l’entreprise. « Face à la mondialisation et à la concurrence, face aux pressions sociétales et syndicales, les employeurs recherchent, désormais, 0s travailleurs plus flexibles, mieux formés, plus conquérants, capables d’assimiler dé nouvelles compétences et de nouvelles connaissances ».
Abordant l’idée répandue selon laquelle le secteur privé regorgerait d’un personnel de qualité à contrario du service public qui ne disposerait que d’un personnel de qualité médiocre, le parrain a tranché. Selon lui, les deux secteurs ont des agents de qualité. D’où cette recommandation.
« Je reste donc persuadé que seule la mutualisation des intelligences, des expériences et des moyens en matière de gestion des ressources humaines est susceptible de répondre aux exigences d’une gestion axée sur les résultats, tant, pour l’entreprise que pour l’État ». Non sans rappeler que la planification, le dialogue, le contrôle sont les maitres-mots des gestionnaires des ressources humaines.
Pour le président de l’association, Alhouceine Sylla, l’objectif visé est de permettre à chacun de réaliser au mieux ses missions de manière durable. « La gestion des compétences est apparue depuis longtemps comme l’outil incontournable de différenciation et de réussite pour les entreprises ». Ajoutant « naturellement, cela interpelle les gestionnaires des ressources humaines qui doivent comprendre et s’approprier cet outil d’affronter la compétitivité et accompagner leurs entreprises vers un développement plus performant».
Ce moment de célébration de la fonction ressources humaines dans les entreprises rime avec leur participation à la problématique sur l’emploi et la promotion du capital humain, affirmera Alhouceine Sylla. L’association aura dix ans d’existence l’an prochain. Des années qui, selon lui, sont rythmées par des réflexions et engagements afin de contribuer à la valorisation de leur profession en Côte d’ivoire.
Pour sa part, Daniel Wognin, 2e adjoint au maire de Grand-Bassam, affirmera que la formation est un atout non négligeable. Ainsi, le partage d’expériences contribuera à être des managers avertis. Plusieurs responsables d’entreprises et des ressources humaines participent à ces assises.