Les efforts du Professeur Mariatou Koné, Ministre de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité et de son équipe n’auront pas suffi pour sauver la petite G. R., âgée de cinq ans. Victime de violences sexuelles perpétrées par un adulte d’une quarantaine d’années dans la commune de Port-Bouet précisément au quartier Gonzaqueville, la fillette a succombé de ses blessures le 13 août 2017 au Centre Hospitalier Universitaire de Treichville.
A la levée de corps organisée au Centre Hospitalier Universitaire de Treichville, la Ministre Mariatou Koné n’a pas manqué d’être aux côtés de la famille : « Je suis venue ce matin, au nom du Président de la République et au nom du Gouvernement, apporter la compassion de la Nation entière à la famille endeuillée pour la disparition de leur enfant de cinq ans, victime de violences sexuelles. Lorsque la mère nous a saisis, nous avons aussitôt apporté une assistance médicale à sa fille. Elle est restée presque 10 jours à l’hôpital. La violence du choc était telle qu’elle n’a pas survécu. Nous venons, ce matin, pleurer avec la famille et surtout leur dire yako », a soutenu la Ministre.
En outre, la première responsable en charge de la protection des enfants s’est voulue très ferme quant à la suite de cette affaire. « Cet acte criminel ne restera pas impuni. Je rassure les Ivoiriens que le violeur a été arrêté et séjourne présentement à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan. La justice fera son travail et j’espère qu’il prendra la peine la plus lourde de sa vie. Je voudrais aussi indiquer à l’ensemble des Ivoiriens que le Gouvernement va poursuivre avec la plus grande fermeté tous ceux qui vont s’adonner à ce genre de pratiques. J’invite par ailleurs les populations à dénoncer de telles personnes qui vivent dans les quartiers et qui font du tort aux enfants », a indiqué la Ministre.
Inconsolable, V. L., la mère de la petite fille a exprimé toute sa reconnaissance au Ministère. « Depuis le début de cette affaire, le Ministère a été à nos côtés. Malheureusement, l’irréparable s’est produit. Dans cette épreuve douloureuse, il est encore à nos côtés. Merci à Madame le Ministre Mariatou Koné et à toute son équipe» a-t-elle expliqué.
C’est dans une atmosphère de tristesse généralisée que le corbillard a pris la direction du cimetière de Yopougon où la fillette a été inhumée.
A la levée de corps organisée au Centre Hospitalier Universitaire de Treichville, la Ministre Mariatou Koné n’a pas manqué d’être aux côtés de la famille : « Je suis venue ce matin, au nom du Président de la République et au nom du Gouvernement, apporter la compassion de la Nation entière à la famille endeuillée pour la disparition de leur enfant de cinq ans, victime de violences sexuelles. Lorsque la mère nous a saisis, nous avons aussitôt apporté une assistance médicale à sa fille. Elle est restée presque 10 jours à l’hôpital. La violence du choc était telle qu’elle n’a pas survécu. Nous venons, ce matin, pleurer avec la famille et surtout leur dire yako », a soutenu la Ministre.
En outre, la première responsable en charge de la protection des enfants s’est voulue très ferme quant à la suite de cette affaire. « Cet acte criminel ne restera pas impuni. Je rassure les Ivoiriens que le violeur a été arrêté et séjourne présentement à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan. La justice fera son travail et j’espère qu’il prendra la peine la plus lourde de sa vie. Je voudrais aussi indiquer à l’ensemble des Ivoiriens que le Gouvernement va poursuivre avec la plus grande fermeté tous ceux qui vont s’adonner à ce genre de pratiques. J’invite par ailleurs les populations à dénoncer de telles personnes qui vivent dans les quartiers et qui font du tort aux enfants », a indiqué la Ministre.
Inconsolable, V. L., la mère de la petite fille a exprimé toute sa reconnaissance au Ministère. « Depuis le début de cette affaire, le Ministère a été à nos côtés. Malheureusement, l’irréparable s’est produit. Dans cette épreuve douloureuse, il est encore à nos côtés. Merci à Madame le Ministre Mariatou Koné et à toute son équipe» a-t-elle expliqué.
C’est dans une atmosphère de tristesse généralisée que le corbillard a pris la direction du cimetière de Yopougon où la fillette a été inhumée.