Dans un communiqué transmis lundi à l’AIP, le service de communication et des relations publiques de la ministre de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité précise que la ministre Mariatou Koné n’a pas tenu des propos qui lui sont attribués par le quotidien Notre voie, selon lesquels elle souhaite que l’auteur du viol d’une fillette de cinq ans décédée soit "castré".
Dans sa parution de samedi relative à l’affaire du viol d’une fillette de cinq ans par un homme de 40 ans, le quotidien a écrit que la ministre Mariatou Koné estime que l’auteur est "un homme qu’il faut castrer".
Ses services soulignent que ces écrits n’engagent que l’auteur de l’article. Ils relèvent, par ailleurs, que l’intervention de la ministre lors de la levée de corps de la fillette vendredi à la morgue du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Treichville a plutôt porté sur l’expression de la compassion du Gouvernement à la famille éplorée et la condamnation de cet acte ignoble perpétré sur l’enfant décédée des suites de cette cruauté.
Le Gouvernement, par le truchement du ministère de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité, avait déployé d’importants moyens pour assurer la prise en charge médicale et psychologique de l’enfant (Gnamé Ruth), précise la note.
tad/cmas
Dans sa parution de samedi relative à l’affaire du viol d’une fillette de cinq ans par un homme de 40 ans, le quotidien a écrit que la ministre Mariatou Koné estime que l’auteur est "un homme qu’il faut castrer".
Ses services soulignent que ces écrits n’engagent que l’auteur de l’article. Ils relèvent, par ailleurs, que l’intervention de la ministre lors de la levée de corps de la fillette vendredi à la morgue du Centre hospitalier universitaire (CHU) de Treichville a plutôt porté sur l’expression de la compassion du Gouvernement à la famille éplorée et la condamnation de cet acte ignoble perpétré sur l’enfant décédée des suites de cette cruauté.
Le Gouvernement, par le truchement du ministère de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité, avait déployé d’importants moyens pour assurer la prise en charge médicale et psychologique de l’enfant (Gnamé Ruth), précise la note.
tad/cmas