Abidjan (Côte d’Ivoire) - Menacé de bannissement de la ville de Touba (646 km, au Nord-ouest), suite à une affaire d’adultère, Vaty Bamba, transporteur de son état, s’en remet aux autorités administratives de la ville.
Dans un courrier adressé au Préfet de région, préfet du Département de Touba, dont APA a eu copie, Vaty Bamba, 45 ans, informe l’autorité préfectorale que ‘’depuis deux mois’’, il est ‘’physiquement et moralement harcelé’’ par le Chef de Canton de Touba, Bambadjan Fadiga, un ancien commissaire de police à la retraite.
A l’origine, explique le transporteur, un cas d’adultère dont il s’est ‘’rendu coupable’’ et pour lequel il a été ‘’copieusement bastonné, mis nu et posté sur les réseaux sociaux’’.
Malgré ‘’les amendes payées et le pardon accepté’’ par le cocu et sa famille, le chef de canton et son conseil, poursuit-il, ont décidé de ‘’me bannir de Touba pour une période de cinq ans’’. Alors que soutient M. Bamba, ‘’ma moto et mon téléphone confisqués’’ m’ont été ‘’remis’’ en guise d’apaisement.
‘’(…) je dois sortir de Touba sous peine d’être agressé physiquement et même de voir ma maison détruite’’, informe-t-il le préfet avec ampliation au Procureur de la République, au Commissaire de Police, au commandant de brigade de la gendarmerie et à la commission nationale des Droits de l’homme.
HS/ls/APA
Dans un courrier adressé au Préfet de région, préfet du Département de Touba, dont APA a eu copie, Vaty Bamba, 45 ans, informe l’autorité préfectorale que ‘’depuis deux mois’’, il est ‘’physiquement et moralement harcelé’’ par le Chef de Canton de Touba, Bambadjan Fadiga, un ancien commissaire de police à la retraite.
A l’origine, explique le transporteur, un cas d’adultère dont il s’est ‘’rendu coupable’’ et pour lequel il a été ‘’copieusement bastonné, mis nu et posté sur les réseaux sociaux’’.
Malgré ‘’les amendes payées et le pardon accepté’’ par le cocu et sa famille, le chef de canton et son conseil, poursuit-il, ont décidé de ‘’me bannir de Touba pour une période de cinq ans’’. Alors que soutient M. Bamba, ‘’ma moto et mon téléphone confisqués’’ m’ont été ‘’remis’’ en guise d’apaisement.
‘’(…) je dois sortir de Touba sous peine d’être agressé physiquement et même de voir ma maison détruite’’, informe-t-il le préfet avec ampliation au Procureur de la République, au Commissaire de Police, au commandant de brigade de la gendarmerie et à la commission nationale des Droits de l’homme.
HS/ls/APA