Avec la normalisation de la situation politique marquée par la réouverture des services de l’Etat, la région du Poro a amorcé un redécollage économique et social. De nombreux travaux de réhabilitation d’infrastructures et de reconstruction y sont exécutés, sous le regard averti d’Amadou Gon Coulibaly, premier ministre de Côte d’Ivoire.
Nommé le 10 janvier 2017 au poste de premier ministre de Côte d’Ivoire, le député-maire de Korhogo, Amadou Gon Coulibaly, président du conseil régional du Poro est un proche du Président de la République. Un poste exposé, politique, sur la ligne des fronts. Sa préoccupation essentielle : réussir, pour que le président réussisse. C’est son ancrage, son origine, sa tradition. Amadou Gon ne lâchera pas la région, sa région. Avec la normalisation de la situation politique marquée par la réouverture des services de l’Etat, après la prise du pouvoir d’Etat d’Alassane Ouattara, la ville de Korhogo, sous l’impulsion de son président du conseil régional, A G C, a amorcé un redécollage économique et social, entraînant avec elle celui de toute la région du Poro. Le leader de la région a réussi à développer le nord parce qu’il est un baroudeur en politique. Grâce à sa force de frappe, le premier ministre a été nommé directeur national de campagne de Ouattara en 2010 et en 2015. Au contraire de ce bâtisseur, plusieurs cadres et politiques originaires d’autres régions qui ont eu la même chance et la possibilité d’œuvrer au développement de leur région, ne l’ont jamais fait. Les exemples sont légions. Comme Houphouët Boigny qui a construit Yamoussoukro, A G C a fait renaître la région. Même avec 10 ans de règne à son actif, Laurent Gbagbo n’a pu changer le visage de Gagnoa. Pour ne citer que celui là. Plus d’une ville de Côte d’Ivoire font piètre figure au plan du développement et n’ont jamais pu sortir de la précarité parce que des leaders politiques égoïstes étaient à leur tête. A côté de ce tableau sombre de fils ingrats qui ont eu de la Côte d’Ivoire Amadaou Gon demeure une chance inouïe de la région du Poro et même pour le développement du pays. Cela augure de sa nomination au poste de premier ministre pour le développement harmonieux d’une Côte d’Ivoire en reconstruction.
Un exemple de développement volontariste du grand nord
De nombreux travaux de réhabilitation d’infrastructures et de reconstruction y sont exécutés, qui transforment de jour en jour le visage de la zone nord. Mais comment s’opère cette transformation ? La longue crise militaro-politique qu’a connue la Côte d’Ivoire l’avait pourtant mise très à mal. La cité du Poro, comme toutes les villes de l’ex-zone CNO présentait l’image d’une ville à l’abandon, en dépit des efforts consentis par les autorités d’alors pour la maintenir dans un bon état de salubrité. Le retrait de l’administration publique dès l’éclatement de la crise en septembre 2002, l’arrêt subséquent des investissements y ont contribué fortement. Aujourd’hui, le souvenir de ces années s’efface progressivement des mémoires, grâce à la volonté du Chef de l’Etat et du premier ministre Amadou Gon. Dans le cadre de son ambitieux programme de reconstruction nationale, A G C a décidé de redorer le blason de la 4ème plus importante ville du pays après Abidjan, Bouaké et Daloa et surtout d’en faire une véritable capitale régionale, voire de district, celui des savanes. Même si le gros des investissements se concentre dans la commune de Korhogo, les départements de Sinématiali, Dikodougou et M’Bengué ne sont pas pour autant oubliés. Dans sa recherche de solution au développement par le biais du Ppu, le département de Korhogo a bénéficié de 184,5 km de ré-profilage, 65 km pour celui de Sinématiali, 93 km pour Dikodougou et 78,5 km pour M’Bengué. La fourniture d’eau potable, l’une des six composantes du conseil régional. Korhogo a renoué avec le développement et le progrès. Et c’est-là le véritable enjeu pour l’initiateur de ce changement : faire de cette région, chef-lieu d’une région au cœur de la production nationale de coton et d’anacarde, un véritable pôle efficace de croissance, capable de soutenir le développement local à tout point de vue. Le premier ministre, président du conseil régional est maire de Korhogo depuis 2001. Et aujourd’hui encore, une bonne partie de son temps encore libre est consacrée à recevoir les notables, à écouter les demandes, à arbitrer les conflits… Ce qui fait souvent dire à ceux qui ne sont pas ses amis ou ses alliés que, au fond, Amadou Gon reste avant tout un « Sénoufo étroit ». Au régard de tout ce qui suit il n’est hasardeux de dire que Amadou Gon est n’ont seulement une chance pour la partie nord de la Côte d’Ivoire mais aussi pour la Côte d’Ivoire tout en restant avec humilité dans l’ombre de Président e la République Alassane Ouattara.
F N
Nommé le 10 janvier 2017 au poste de premier ministre de Côte d’Ivoire, le député-maire de Korhogo, Amadou Gon Coulibaly, président du conseil régional du Poro est un proche du Président de la République. Un poste exposé, politique, sur la ligne des fronts. Sa préoccupation essentielle : réussir, pour que le président réussisse. C’est son ancrage, son origine, sa tradition. Amadou Gon ne lâchera pas la région, sa région. Avec la normalisation de la situation politique marquée par la réouverture des services de l’Etat, après la prise du pouvoir d’Etat d’Alassane Ouattara, la ville de Korhogo, sous l’impulsion de son président du conseil régional, A G C, a amorcé un redécollage économique et social, entraînant avec elle celui de toute la région du Poro. Le leader de la région a réussi à développer le nord parce qu’il est un baroudeur en politique. Grâce à sa force de frappe, le premier ministre a été nommé directeur national de campagne de Ouattara en 2010 et en 2015. Au contraire de ce bâtisseur, plusieurs cadres et politiques originaires d’autres régions qui ont eu la même chance et la possibilité d’œuvrer au développement de leur région, ne l’ont jamais fait. Les exemples sont légions. Comme Houphouët Boigny qui a construit Yamoussoukro, A G C a fait renaître la région. Même avec 10 ans de règne à son actif, Laurent Gbagbo n’a pu changer le visage de Gagnoa. Pour ne citer que celui là. Plus d’une ville de Côte d’Ivoire font piètre figure au plan du développement et n’ont jamais pu sortir de la précarité parce que des leaders politiques égoïstes étaient à leur tête. A côté de ce tableau sombre de fils ingrats qui ont eu de la Côte d’Ivoire Amadaou Gon demeure une chance inouïe de la région du Poro et même pour le développement du pays. Cela augure de sa nomination au poste de premier ministre pour le développement harmonieux d’une Côte d’Ivoire en reconstruction.
Un exemple de développement volontariste du grand nord
De nombreux travaux de réhabilitation d’infrastructures et de reconstruction y sont exécutés, qui transforment de jour en jour le visage de la zone nord. Mais comment s’opère cette transformation ? La longue crise militaro-politique qu’a connue la Côte d’Ivoire l’avait pourtant mise très à mal. La cité du Poro, comme toutes les villes de l’ex-zone CNO présentait l’image d’une ville à l’abandon, en dépit des efforts consentis par les autorités d’alors pour la maintenir dans un bon état de salubrité. Le retrait de l’administration publique dès l’éclatement de la crise en septembre 2002, l’arrêt subséquent des investissements y ont contribué fortement. Aujourd’hui, le souvenir de ces années s’efface progressivement des mémoires, grâce à la volonté du Chef de l’Etat et du premier ministre Amadou Gon. Dans le cadre de son ambitieux programme de reconstruction nationale, A G C a décidé de redorer le blason de la 4ème plus importante ville du pays après Abidjan, Bouaké et Daloa et surtout d’en faire une véritable capitale régionale, voire de district, celui des savanes. Même si le gros des investissements se concentre dans la commune de Korhogo, les départements de Sinématiali, Dikodougou et M’Bengué ne sont pas pour autant oubliés. Dans sa recherche de solution au développement par le biais du Ppu, le département de Korhogo a bénéficié de 184,5 km de ré-profilage, 65 km pour celui de Sinématiali, 93 km pour Dikodougou et 78,5 km pour M’Bengué. La fourniture d’eau potable, l’une des six composantes du conseil régional. Korhogo a renoué avec le développement et le progrès. Et c’est-là le véritable enjeu pour l’initiateur de ce changement : faire de cette région, chef-lieu d’une région au cœur de la production nationale de coton et d’anacarde, un véritable pôle efficace de croissance, capable de soutenir le développement local à tout point de vue. Le premier ministre, président du conseil régional est maire de Korhogo depuis 2001. Et aujourd’hui encore, une bonne partie de son temps encore libre est consacrée à recevoir les notables, à écouter les demandes, à arbitrer les conflits… Ce qui fait souvent dire à ceux qui ne sont pas ses amis ou ses alliés que, au fond, Amadou Gon reste avant tout un « Sénoufo étroit ». Au régard de tout ce qui suit il n’est hasardeux de dire que Amadou Gon est n’ont seulement une chance pour la partie nord de la Côte d’Ivoire mais aussi pour la Côte d’Ivoire tout en restant avec humilité dans l’ombre de Président e la République Alassane Ouattara.
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