Abidjan - Une trentaine de jeunes de différents profils prennent part du mardi au jeudi à un séminaire à Abidjan en vue d’avoir une nouvelle approche de la liberté comme remède contre l’extrémisme violent.
Cette rencontre qui réunit étudiants, blogueurs, entrepreneurs, chercheurs, acteurs de la société civile, se fait autour du thème "La liberté : l’antidote à l’extrémisme violent".
A l’ouverture des travaux, le conférencier marocain, Hicham El Moussaoui a souligné que l’extrémisme violent prend de plus en plus d’ampleur en Afrique et que ce phénomène constitue une menace pour le développement et la jeunesse de ce continent.
«On a la menace que fait peser le phénomène de l’extrémisme violent sur le développement de l’Afrique. C’est à peine une décennie qu’on commence à parler de manière un peu plus positive du continent africain comme le futur el dorado. Mais l’extrémisme violent risque de casser cette dynamique et nous fait revenir en arrière (…). On assiste également à la participation de plus en plus croissante des jeunes aux groupes extrémistes et cela est préoccupant », a déploré Dr Hicham.
Il a expliqué en outre que l’objectif de ce séminaire est de « doter les jeunes participants de nouvelles idées qui vont leur permettre d’accroître leur résilience face aux manipulations, aux tentations de rejoindre les groupes d’extrémisme violent ». Et également de faire de la jeunesse, des ambassadeurs de paix dans leur milieu familial, professionnel et autres, en relayant les enseignements dispensés.
Ce séminaire est organisé par l’institut Audace Afrique et son partenaire Libre Afrique avec le financement de la fondation américaine Atlas. Plusieurs thèmes meubleront cette rencontre pluridisciplinaire, notamment « Quelle éducation, quelles valeurs pour prévenir l’extrémisme violent ? », « L’exclusion économique : terreau fertile à l’extrémisme violent » et « Reformer l’État pour lutter contre l’extrémisme violent ».
(AIP)
amak/akn/fmo
Cette rencontre qui réunit étudiants, blogueurs, entrepreneurs, chercheurs, acteurs de la société civile, se fait autour du thème "La liberté : l’antidote à l’extrémisme violent".
A l’ouverture des travaux, le conférencier marocain, Hicham El Moussaoui a souligné que l’extrémisme violent prend de plus en plus d’ampleur en Afrique et que ce phénomène constitue une menace pour le développement et la jeunesse de ce continent.
«On a la menace que fait peser le phénomène de l’extrémisme violent sur le développement de l’Afrique. C’est à peine une décennie qu’on commence à parler de manière un peu plus positive du continent africain comme le futur el dorado. Mais l’extrémisme violent risque de casser cette dynamique et nous fait revenir en arrière (…). On assiste également à la participation de plus en plus croissante des jeunes aux groupes extrémistes et cela est préoccupant », a déploré Dr Hicham.
Il a expliqué en outre que l’objectif de ce séminaire est de « doter les jeunes participants de nouvelles idées qui vont leur permettre d’accroître leur résilience face aux manipulations, aux tentations de rejoindre les groupes d’extrémisme violent ». Et également de faire de la jeunesse, des ambassadeurs de paix dans leur milieu familial, professionnel et autres, en relayant les enseignements dispensés.
Ce séminaire est organisé par l’institut Audace Afrique et son partenaire Libre Afrique avec le financement de la fondation américaine Atlas. Plusieurs thèmes meubleront cette rencontre pluridisciplinaire, notamment « Quelle éducation, quelles valeurs pour prévenir l’extrémisme violent ? », « L’exclusion économique : terreau fertile à l’extrémisme violent » et « Reformer l’État pour lutter contre l’extrémisme violent ».
(AIP)
amak/akn/fmo