Abidjan - Les agents de l’administration pénitentiaire, ne servant pas à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (MACA), sont sommés de libérer les appartements d’astreinte, aux fins de permettre l’accès à d’autres agents y exerçant, indique un communiqué du collectif syndical des personnels pénitentiaires de Côte d’Ivoire transmis mardi à l’AIP par le service de communication du ministère de la Justice et des Droits de l’homme.
Selon cette note, une information « erronée à tout point de vue », n’engageant pas la responsabilité du collectif des syndicats de l’administration pénitentiaire, a été répandue dans la presse et sur les réseaux sociaux, fait savoir le ministère de la Justice et des Droits de l'homme.
Le collectif relève qu’à l’issue de deux rencontres qui ont eu lieu mercredi et vendredi à la chancellerie, le cabinet a posé trois préalables, à savoir le déguerpissement des logements, sans condition ni délai, des agents mutés depuis plus de deux ans et des personnes n’étant plus en service à l’administration pénitentiaire ou mutés de la MACA depuis le premier trimestre de l’année 2016 et leurs familles, et l’établissement d’un protocole d’accord pour le départ des autres occupants afin que nul n’en ignore le moment venu.
Le collectif invite ainsi « les camarades » à s’inscrire dans l’esprit de la démarche engagée par la tutelle.
Tad/kp
Selon cette note, une information « erronée à tout point de vue », n’engageant pas la responsabilité du collectif des syndicats de l’administration pénitentiaire, a été répandue dans la presse et sur les réseaux sociaux, fait savoir le ministère de la Justice et des Droits de l'homme.
Le collectif relève qu’à l’issue de deux rencontres qui ont eu lieu mercredi et vendredi à la chancellerie, le cabinet a posé trois préalables, à savoir le déguerpissement des logements, sans condition ni délai, des agents mutés depuis plus de deux ans et des personnes n’étant plus en service à l’administration pénitentiaire ou mutés de la MACA depuis le premier trimestre de l’année 2016 et leurs familles, et l’établissement d’un protocole d’accord pour le départ des autres occupants afin que nul n’en ignore le moment venu.
Le collectif invite ainsi « les camarades » à s’inscrire dans l’esprit de la démarche engagée par la tutelle.
Tad/kp