Des « preuves» existent qui accablent les personnalités politiques proches de l’ex-président Gbagbo mises en cause dans les attaques des postes de police et de gendarmerie quoique celles-ci nient leur responsabilité, a assuré dimanche, le président de la République, Alassane Ouattara, lors de la clôture du 3ème congrès de son parti, le Rassemblement des républicains (RDR).
« Quels que soit les mensonges des uns et des autres, nous avons des preuves », a-t-il affirmé, informant que ces preuves vont être transmises dans les pays où résident ces personnes. « Ils auront le choix de rentrer, autrement des mandats d’arrêt seront émis à leur endroit », a averti Alassane Ouattara.
Quatre exilés pro-Gbagbo parmi lesquels Damana Pickass (membre de l'ex-galaxie patriotique) et Stéphane Kipré (gendre de l’ex-président Gbagbo) sont soupçonnés par le pouvoir d’avoir commandité les attaques perpétrées, depuis le début de l’année 2017, contre des postes de gendarmerie et de police.
Les deux personnages, depuis la divulgation de l’information, jeudi, ont réagi par voie de presse, se disant « ni de près, ni de loin » concernés par les faits à eux reprochés.
« Je veux dire à certain déstabilisateurs qui n’ont même pas le courage de reconnaitre des personnes qu’ils ont envoyées aux charbons. Je veux leur dire que c’est terminé. Mais néanmoins, ce sont des ivoiriens, ils peuvent rentrer et je donnerai des instructions que rien ne leur soit fait sauf de passer devant les tribunaux comme tout citoyen qui ferait des dommages aux ivoiriens et à la Côte d’Ivoire », leur a lancé cependant, le président de la République, de la tribune du congrès du RDR ouvert samedi, au palais des sports de Treichville.
Depuis le début de l’année 2017, une série d’attaques armées a ciblé des postes de police et de gendarmerie dans les localités de Bingerville, Cocody, Azaguié, Fresco, N’Dotré, Adzopé et Songon, rappelle-t-on.
kg/fmo
« Quels que soit les mensonges des uns et des autres, nous avons des preuves », a-t-il affirmé, informant que ces preuves vont être transmises dans les pays où résident ces personnes. « Ils auront le choix de rentrer, autrement des mandats d’arrêt seront émis à leur endroit », a averti Alassane Ouattara.
Quatre exilés pro-Gbagbo parmi lesquels Damana Pickass (membre de l'ex-galaxie patriotique) et Stéphane Kipré (gendre de l’ex-président Gbagbo) sont soupçonnés par le pouvoir d’avoir commandité les attaques perpétrées, depuis le début de l’année 2017, contre des postes de gendarmerie et de police.
Les deux personnages, depuis la divulgation de l’information, jeudi, ont réagi par voie de presse, se disant « ni de près, ni de loin » concernés par les faits à eux reprochés.
« Je veux dire à certain déstabilisateurs qui n’ont même pas le courage de reconnaitre des personnes qu’ils ont envoyées aux charbons. Je veux leur dire que c’est terminé. Mais néanmoins, ce sont des ivoiriens, ils peuvent rentrer et je donnerai des instructions que rien ne leur soit fait sauf de passer devant les tribunaux comme tout citoyen qui ferait des dommages aux ivoiriens et à la Côte d’Ivoire », leur a lancé cependant, le président de la République, de la tribune du congrès du RDR ouvert samedi, au palais des sports de Treichville.
Depuis le début de l’année 2017, une série d’attaques armées a ciblé des postes de police et de gendarmerie dans les localités de Bingerville, Cocody, Azaguié, Fresco, N’Dotré, Adzopé et Songon, rappelle-t-on.
kg/fmo