Adiaké - Les inscriptions se poursuivent dans la quasi-totalité des établissements secondaires publics et privés de la ville d’Adiaké, a constaté l’AIP.
Si dans les écoles primaires, la rentrée s’est déroulée normalement, dans le secondaire, les élèves sont encore au stade des inscriptions. Du seul lycée à Adiaké aux trois collèges privés le constat est le même.
"Ce premier jour, les parents viennent retirer les fiches de renseignement donc toute cette semaine nous aurons à faire les inscriptions. La rentrée véritable pourrait intervenir la semaine prochaine", a fait savoir le directeur des études au collège Sainte Marie d’Adiake, Roger Kitan.
Un incident s’est produit pendant les inscriptions au Lycée Atté Noël, les élèves se réclamant de la FESCI ont fait irruption dans le lycée et ont commencé à siffler perturbant ainsi les inscriptions. Ces élèves, a-t-on appris, refusaient de payer les droits d’inscriptions jugés trop élevés.
L’un des responsables de l’administration du Lycée Atté Noël a expliqué que ces frais d’inscription jugés trop élevés par les élèves et qui s’élèvent à 12 000 F CFA sont légaux et justifiés. "Nous avons l’autorisation de la hiérarchie. Après avoir expliqué cela aux manifestants le calme est revenu rapidement et les inscriptions se sont poursuivies", a-t-il rassuré.
zsgd/kkf/akn/kam
Si dans les écoles primaires, la rentrée s’est déroulée normalement, dans le secondaire, les élèves sont encore au stade des inscriptions. Du seul lycée à Adiaké aux trois collèges privés le constat est le même.
"Ce premier jour, les parents viennent retirer les fiches de renseignement donc toute cette semaine nous aurons à faire les inscriptions. La rentrée véritable pourrait intervenir la semaine prochaine", a fait savoir le directeur des études au collège Sainte Marie d’Adiake, Roger Kitan.
Un incident s’est produit pendant les inscriptions au Lycée Atté Noël, les élèves se réclamant de la FESCI ont fait irruption dans le lycée et ont commencé à siffler perturbant ainsi les inscriptions. Ces élèves, a-t-on appris, refusaient de payer les droits d’inscriptions jugés trop élevés.
L’un des responsables de l’administration du Lycée Atté Noël a expliqué que ces frais d’inscription jugés trop élevés par les élèves et qui s’élèvent à 12 000 F CFA sont légaux et justifiés. "Nous avons l’autorisation de la hiérarchie. Après avoir expliqué cela aux manifestants le calme est revenu rapidement et les inscriptions se sont poursuivies", a-t-il rassuré.
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