Le commissaire chargé des Télécommunications et des Technologies de l’information (TTI) de la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Dr Isaias Barreto da Rosa, a souligné l’importance des TTI dans le processus d'intégration ouest-africain.
Dans son intervention à l’ouverture, lundi à Abuja, au Nigeria, de la conférence régionale d’harmonisation de la législation sur la cybercriminalité et les preuves électroniques, avec des garanties pour l'état de droit et les droits de l'homme dans l’espace CEDEAO, il a indiqué que les TTI constituent la clé pour assurer le progrès vers l'accomplissement des objectifs du développement durable.
« La CEDEAO, dont la vision des Chefs d’Etat est de devenir une CEDEAO des Peuples, a pour ambition de créer un marché numérique unique. Dans le contexte mondial, il ne peut y avoir de processus de développement et de marché numérique unique sans un environnement cyber sûr dans notre région », a fait savoir Dr Isaias Barreto da Rosa.
Cette conférence, organisée conjointement par la Commission de la CEDEAO et le Conseil de l’Europe, vise à faire le point sur l'état des législations sur la cybercriminalité et les preuves électroniques des Etats membres de la CEDEAO vis-à-vis de la Convention de Budapest sur la cybercriminalité.
Elle doit également servir de cadre à la mise à disposition de ces Etats des orientations et des compétences nécessaires, devant leur permettre d’harmoniser leurs législations nationales conformément à la Convention de Budapest et aux normes de la CEDEAO.
Le chargé du programme Action globale sur la cybercriminalité Elargie (GLACY+) et responsable du bureau du Conseil de l’Europe chargé de la Cybercriminalité, Manuel Pereira, a indiqué que son organisation est engagée dans la lutte contre la cybercriminalité. « La cybercriminalité est, par nature, un crime transnational qui n'a pas de frontières et compte tenu de cette nature, il est nécessaire que tous les pays, notamment ceux de la CEDEAO, disposent d'un cadre législatif solide, conforme aux normes internationales », a-t-il noté.
La CEDEAO dispose de deux actes additionnels sur les transactions électroniques et sur la protection des données à caractère personnel, de même que d’une directive sur la lutte contre la cybercriminalité. Ces instruments devraient permettre à l’organisation régionale d’établir un cadre juridique harmonisé pour réglementer les transactions électroniques au niveau de ses Etats membres.
cmas
Dans son intervention à l’ouverture, lundi à Abuja, au Nigeria, de la conférence régionale d’harmonisation de la législation sur la cybercriminalité et les preuves électroniques, avec des garanties pour l'état de droit et les droits de l'homme dans l’espace CEDEAO, il a indiqué que les TTI constituent la clé pour assurer le progrès vers l'accomplissement des objectifs du développement durable.
« La CEDEAO, dont la vision des Chefs d’Etat est de devenir une CEDEAO des Peuples, a pour ambition de créer un marché numérique unique. Dans le contexte mondial, il ne peut y avoir de processus de développement et de marché numérique unique sans un environnement cyber sûr dans notre région », a fait savoir Dr Isaias Barreto da Rosa.
Cette conférence, organisée conjointement par la Commission de la CEDEAO et le Conseil de l’Europe, vise à faire le point sur l'état des législations sur la cybercriminalité et les preuves électroniques des Etats membres de la CEDEAO vis-à-vis de la Convention de Budapest sur la cybercriminalité.
Elle doit également servir de cadre à la mise à disposition de ces Etats des orientations et des compétences nécessaires, devant leur permettre d’harmoniser leurs législations nationales conformément à la Convention de Budapest et aux normes de la CEDEAO.
Le chargé du programme Action globale sur la cybercriminalité Elargie (GLACY+) et responsable du bureau du Conseil de l’Europe chargé de la Cybercriminalité, Manuel Pereira, a indiqué que son organisation est engagée dans la lutte contre la cybercriminalité. « La cybercriminalité est, par nature, un crime transnational qui n'a pas de frontières et compte tenu de cette nature, il est nécessaire que tous les pays, notamment ceux de la CEDEAO, disposent d'un cadre législatif solide, conforme aux normes internationales », a-t-il noté.
La CEDEAO dispose de deux actes additionnels sur les transactions électroniques et sur la protection des données à caractère personnel, de même que d’une directive sur la lutte contre la cybercriminalité. Ces instruments devraient permettre à l’organisation régionale d’établir un cadre juridique harmonisé pour réglementer les transactions électroniques au niveau de ses Etats membres.
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