Grand-Lahou - Les populations du village de Godesso dans le département de Grand-Lahou, sont confrontées à des problèmes d’eau potable qui obligent les ménages à se tourner vers les marigots pour s'approvisionner.
Le chef du village, Koffi kouamé valentin a relevé avec amertume que son "village qui est le plus peuplé de la sous-préfecture de Bacanda avec une population de 6.000 habitants, ne dispose pas de pompes villageoises. « Lorsque nos puits tarissent surtout en saison sèche, tout le monde converge vers la rivière Godai située à 2 km du village. Nos femmes parcourent plusieurs fois cette distance pour le ménage", a décrié M. Koffi.
"Les populations en consommant les eaux de la rivière du Godai et des marigots couverts d'herbes et de nénuphars sont exposées à de nombreuses maladies ", ajouté le secrétaire du chef, Seydou Zéré. "Nous enregistrons dans l'année des cas de choléra, de bilharziose et de dysenterie car nous consommons ces eaux." s'est plaint pour sa part dame Sawadogo Aibata mère de quatre enfants.
"le village est situé à 9 km de la sous-préfecture de Bacanda. Je parcours avec ma moto cette distance trois fois par jour afin de ravitailler ma famille en eau potable. Je le fais depuis 11 ans que j'exerce dans le village. "'Les enseignants arrivent dans le village mais avec le problème d'eau, ils demandent à être muté ailleurs", a expliqué un enseignant de l'école primaire de Godesso.
rk/ena/kam
Le chef du village, Koffi kouamé valentin a relevé avec amertume que son "village qui est le plus peuplé de la sous-préfecture de Bacanda avec une population de 6.000 habitants, ne dispose pas de pompes villageoises. « Lorsque nos puits tarissent surtout en saison sèche, tout le monde converge vers la rivière Godai située à 2 km du village. Nos femmes parcourent plusieurs fois cette distance pour le ménage", a décrié M. Koffi.
"Les populations en consommant les eaux de la rivière du Godai et des marigots couverts d'herbes et de nénuphars sont exposées à de nombreuses maladies ", ajouté le secrétaire du chef, Seydou Zéré. "Nous enregistrons dans l'année des cas de choléra, de bilharziose et de dysenterie car nous consommons ces eaux." s'est plaint pour sa part dame Sawadogo Aibata mère de quatre enfants.
"le village est situé à 9 km de la sous-préfecture de Bacanda. Je parcours avec ma moto cette distance trois fois par jour afin de ravitailler ma famille en eau potable. Je le fais depuis 11 ans que j'exerce dans le village. "'Les enseignants arrivent dans le village mais avec le problème d'eau, ils demandent à être muté ailleurs", a expliqué un enseignant de l'école primaire de Godesso.
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