La Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) a mis à exécution ce lundi 18 septembre, son mot d’ordre de grève contre les frais d’inscription annexes dans les lycées et collèges publics du pays, qu’elle juge, excessifs. A Cocody et dans la ville de Daloa, au centre-ouest du pays, les cours sont perturbés.
Des étudiants et élèves se réclamant de ce syndicat ou des partisans de ce mot d’ordre battent le pavé depuis le début de la matinée, avec parfois des rixes avec les forces de l’ordre.
Mais, ce mouvement n’est pas suivi sur toute l’étendue du territoire ivoirien. Dans la commune populaire de Yopougon, aucun signe ne laissait percevoir la tenue d’une manifestation de mécontentement. Dans cette partie d’Abidjan la capitale économique du pays, les cours se déroulaient normalement dans des établissements scolaires publics comme constaté sur place par Pôleafrique.info peu après 8 heures du matin.
A l’ Ecole primaire publique (EPP) Sigoci 4 et Sicogi 7, l’ambiance était à la normale. Les élèves s’empressaient de rejoindre leurs salles de classe, où des enseignants présents pour la plupart les attendaient. Des parents d’élèves, eux, s’affairent à faire aux inscriptions de leurs enfants.
Même constat à Adjamé 220 logements. Au lycée Moderne Djédji Amondji Pierre, tout se passe bien. « Je suis là depuis 7 heures du matin. Les cours n’ont pas été perturbés par le mot d’ordre de la Fesci », confirme Armand Koffi, élève en classe de 1ère D dans cette école. Cependant, une dizaine de policiers est visible aux abords de l’établissement.
L’intérieur du pays ne semble pas concerné par l’appel de Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire. Joint au téléphone par la rédaction, un habitant de Bouaké ( centre-nord ivoirien) informe sur la bonne tenue des cours dans les établissements scolaires publics et privés. Pareil dans la ville de Man à l’ouest du pays. Moustapha Bamba le proviseur du lycée Koui Mamadou de cette localité rassure. « Tout se déroule bien dans mon école et dans la région. Aucune perturbation de cours signalée », soutient-il. Le constat est également le même dans la ville de Duékoué et Guiglo toujours dans l’ouest ivoirien, indique un envoyé de PoleAfrique.info sur place.
Fanta Gnougo
Des étudiants et élèves se réclamant de ce syndicat ou des partisans de ce mot d’ordre battent le pavé depuis le début de la matinée, avec parfois des rixes avec les forces de l’ordre.
Mais, ce mouvement n’est pas suivi sur toute l’étendue du territoire ivoirien. Dans la commune populaire de Yopougon, aucun signe ne laissait percevoir la tenue d’une manifestation de mécontentement. Dans cette partie d’Abidjan la capitale économique du pays, les cours se déroulaient normalement dans des établissements scolaires publics comme constaté sur place par Pôleafrique.info peu après 8 heures du matin.
A l’ Ecole primaire publique (EPP) Sigoci 4 et Sicogi 7, l’ambiance était à la normale. Les élèves s’empressaient de rejoindre leurs salles de classe, où des enseignants présents pour la plupart les attendaient. Des parents d’élèves, eux, s’affairent à faire aux inscriptions de leurs enfants.
Même constat à Adjamé 220 logements. Au lycée Moderne Djédji Amondji Pierre, tout se passe bien. « Je suis là depuis 7 heures du matin. Les cours n’ont pas été perturbés par le mot d’ordre de la Fesci », confirme Armand Koffi, élève en classe de 1ère D dans cette école. Cependant, une dizaine de policiers est visible aux abords de l’établissement.
L’intérieur du pays ne semble pas concerné par l’appel de Fédération Estudiantine et Scolaire de Côte d’Ivoire. Joint au téléphone par la rédaction, un habitant de Bouaké ( centre-nord ivoirien) informe sur la bonne tenue des cours dans les établissements scolaires publics et privés. Pareil dans la ville de Man à l’ouest du pays. Moustapha Bamba le proviseur du lycée Koui Mamadou de cette localité rassure. « Tout se déroule bien dans mon école et dans la région. Aucune perturbation de cours signalée », soutient-il. Le constat est également le même dans la ville de Duékoué et Guiglo toujours dans l’ouest ivoirien, indique un envoyé de PoleAfrique.info sur place.
Fanta Gnougo