Dimbokro - L’artiste chanteur Krofa vient de mettre sur le marché discographique un album intitulé « Révélation Africaine », a constaté l’AIP depuis début septembre à Dimbokro.
Krofa de son vrai nom Coulibaly Mohamed, ex-combattant des années de crise en Côte d’Ivoire, aujourd’hui installé à Dimbokro, s'est reconverti dans la musique après plusieurs péripéties. Avec cet album de huit titres, l'artiste se révèle à l’Afrique et au monde comme un défenseur de la cause des faibles et une boussole de conscience.
Ainsi dans le titre "Djihadistes" il s’insurge contre « ces hommes et femmes qui tuent au nom d’Allah ». L’artiste appelle de tous ses vœux, les jeunes africains à s’affranchir de ce fléau des temps nouveaux qui, chaque jour, endeuillent des milliers de familles à travers le continent et le monde.
Dans un reggae rythmé et habillé aux sonorités mandingues (cora), Krofa aborde également dans ses chansons des thèmes comme l’amour (déception), la jalousie (An Djougou), tout en dénonçant l’inconscience des mères d’aujourd’hui qui jettent leurs progénitures conçues au prix de mille et une souffrances « dehn mbé kassila ».
ik/fmo
Krofa de son vrai nom Coulibaly Mohamed, ex-combattant des années de crise en Côte d’Ivoire, aujourd’hui installé à Dimbokro, s'est reconverti dans la musique après plusieurs péripéties. Avec cet album de huit titres, l'artiste se révèle à l’Afrique et au monde comme un défenseur de la cause des faibles et une boussole de conscience.
Ainsi dans le titre "Djihadistes" il s’insurge contre « ces hommes et femmes qui tuent au nom d’Allah ». L’artiste appelle de tous ses vœux, les jeunes africains à s’affranchir de ce fléau des temps nouveaux qui, chaque jour, endeuillent des milliers de familles à travers le continent et le monde.
Dans un reggae rythmé et habillé aux sonorités mandingues (cora), Krofa aborde également dans ses chansons des thèmes comme l’amour (déception), la jalousie (An Djougou), tout en dénonçant l’inconscience des mères d’aujourd’hui qui jettent leurs progénitures conçues au prix de mille et une souffrances « dehn mbé kassila ».
ik/fmo