Abidjan - Un repas de corps combiné au feu de camp ont constitué le clou des activités de la fête patronale des fantassins dénommée Saint Maurice, avec la participation des militaires de la place d’Abidjan et invités civils, vendredi soir, lors d une cérémonie organisée au nouveau camp d'Akouédo.
Le chef de corps du 1er bataillon d’infanterie d’Akouédo, le lieutenant-colonel Doumbia Brahima a fait savoir que ce repas de corps partagé autour du feu dans la convivialité vise à célébrer plus de cohésion dans l’unité tout en brisant la méfiance entre eux frère d armes.
Le lieutenant-colonel a aussi exhorté tous les fantassins à se surpasser en donnant toujours le meilleur d'eux mêmes et à "très bien se consacrer à leur tâche avec foi, conviction et confiance en eux dans la discipline pour arriver ensemble dans un esprit de fraternité" à l’aboutissement de leur mission.
Le chef de corps du 1er bataillon d'infanterie a rappelé que le feu de camp est une tradition militaire qui permet aux soldats de se rassembler pour clore une activité dans la paix et la joie.
La célébration de la Saint Maurice a été appréciée par les militaires en ce sens qu’elle leur a permis de prendre plaisir au sport en accroissant ainsi leur opérationnalité, leurs capacités physiques mais surtout leur santé.
Le commandant des forces françaises installées au 43e Bima, le colonel James a également procédé à la remise des récompenses à une dizaine athlètes vainqueurs des différentes disciplines sportives tenues au cours de ces festivités.
Les festivités de la Saint Maurice, l’incarnation de la foi et de l’honneur des fantassins, ont débuté lundi par un footing de cohésion au nouveau camp d’Akouédo, rappelle-t-on.
Saint Maurice, le saint patron des fantassins, est ce valeureux officier de la légion thébaine qui n’a pas craint d’affronter la mort plutôt que de renoncer à sa foi, en 302 sous l’empereur Dioclétien, en refusant de tuer tous les chrétiens de sa région. Il est célébré tous les 22 septembre dans le monde entier, a-t-on appris.
tg/fmo
Le chef de corps du 1er bataillon d’infanterie d’Akouédo, le lieutenant-colonel Doumbia Brahima a fait savoir que ce repas de corps partagé autour du feu dans la convivialité vise à célébrer plus de cohésion dans l’unité tout en brisant la méfiance entre eux frère d armes.
Le lieutenant-colonel a aussi exhorté tous les fantassins à se surpasser en donnant toujours le meilleur d'eux mêmes et à "très bien se consacrer à leur tâche avec foi, conviction et confiance en eux dans la discipline pour arriver ensemble dans un esprit de fraternité" à l’aboutissement de leur mission.
Le chef de corps du 1er bataillon d'infanterie a rappelé que le feu de camp est une tradition militaire qui permet aux soldats de se rassembler pour clore une activité dans la paix et la joie.
La célébration de la Saint Maurice a été appréciée par les militaires en ce sens qu’elle leur a permis de prendre plaisir au sport en accroissant ainsi leur opérationnalité, leurs capacités physiques mais surtout leur santé.
Le commandant des forces françaises installées au 43e Bima, le colonel James a également procédé à la remise des récompenses à une dizaine athlètes vainqueurs des différentes disciplines sportives tenues au cours de ces festivités.
Les festivités de la Saint Maurice, l’incarnation de la foi et de l’honneur des fantassins, ont débuté lundi par un footing de cohésion au nouveau camp d’Akouédo, rappelle-t-on.
Saint Maurice, le saint patron des fantassins, est ce valeureux officier de la légion thébaine qui n’a pas craint d’affronter la mort plutôt que de renoncer à sa foi, en 302 sous l’empereur Dioclétien, en refusant de tuer tous les chrétiens de sa région. Il est célébré tous les 22 septembre dans le monde entier, a-t-on appris.
tg/fmo
