Abidjan - La ministre de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité, Mariatou Koné a exhorté mardi, la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d’Ivoire (FESCI) à revendiquer sans violence, afin de préserver la cohésion sociale et l’école ivoirienne.
« Rien ne s’obtient dans la violence. On ne peut pas mener une manifestation pacifique et déplorer des blessés. Il faut que la FESCI revoit la manière de négocier et il faut le faire sans violence », a insisté la ministre après une séance de travail à son cabinet au Plateau, avec le bureau exécutif de la Fesci conduit par le secrétaire général, Assi Fulgence Assi.
Selon la ministre, les revendications à savoir la réduction des frais annexes pour les inscriptions dans les établissements scolaires, le retour des sessions de remplacement des examens à grand tirage, l’augmentation du nombre de boursiers dans les lycées et collèges, la libération des étudiants incarcérés, seront relevées au gouvernement.
Pour le SG de la FESCI, avec cette rencontre s’ouvre un cadre de négociations avec les autorités afin de trouver des solutions aux différentes revendications. « Puisque le cadre s’ouvre, nous allons donner une chance à la négociation », a-t-il ajouté.
tad/fmo
« Rien ne s’obtient dans la violence. On ne peut pas mener une manifestation pacifique et déplorer des blessés. Il faut que la FESCI revoit la manière de négocier et il faut le faire sans violence », a insisté la ministre après une séance de travail à son cabinet au Plateau, avec le bureau exécutif de la Fesci conduit par le secrétaire général, Assi Fulgence Assi.
Selon la ministre, les revendications à savoir la réduction des frais annexes pour les inscriptions dans les établissements scolaires, le retour des sessions de remplacement des examens à grand tirage, l’augmentation du nombre de boursiers dans les lycées et collèges, la libération des étudiants incarcérés, seront relevées au gouvernement.
Pour le SG de la FESCI, avec cette rencontre s’ouvre un cadre de négociations avec les autorités afin de trouver des solutions aux différentes revendications. « Puisque le cadre s’ouvre, nous allons donner une chance à la négociation », a-t-il ajouté.
tad/fmo