La 68ème session du Comité exécutif de l’Unhcr qui s’est ouverte lundi 02 octobre 2017 au Palais des Nations unies à Genève en Suisse, a permis de se faire une idée sur la situation des réfugiés et des apatrides en Côte d’Ivoire. Dans un communiqué de presse publié par les services de communication de la ministre de la Femme, de la Protection de l’Enfant et de la Solidarité, Pr. Mariatou Koné, des chiffres ont été fournis en la matière.
«A la tribune, Pr. Mariatou Koné a lu la déclaration de la Côte d’Ivoire. Dans son intervention, la ministre est revenue sur les actions du gouvernement pour faciliter le retour et la réintégration des compatriotes rentrés d’exil et l’engagement de la Côte d’Ivoire à lutter contre l’apatridie. Par la stratégie mise en place, les autorités ivoiriennes ont pu faire revenir, en une période relativement courte, plus de 90% de la population ivoirienne en exil (environ 270 000 sur les 300 000). Sur la question de l’apatridie, ce sont environ 15 000 personnes qui se sont vu attribuer la nationalité grâce à la loi sur l’identification des personnes victimes d’apatridie», indique le texte en question. Avant d’ajouter que «l’intervention de la ministre a permis au haut-commissaire, depuis la table de séance, d’apprécier et de féliciter la Côte d’Ivoire pour les efforts accomplis».
Unhcr, par cette rencontre en terre suisse, entend faire le point de ses activités pour l’année 2017 et prendre des orientations pour une meilleure prise en charge des questions liées aux réfugiés et à l’apatridie pour l’année 2018.
F. T.D.
«A la tribune, Pr. Mariatou Koné a lu la déclaration de la Côte d’Ivoire. Dans son intervention, la ministre est revenue sur les actions du gouvernement pour faciliter le retour et la réintégration des compatriotes rentrés d’exil et l’engagement de la Côte d’Ivoire à lutter contre l’apatridie. Par la stratégie mise en place, les autorités ivoiriennes ont pu faire revenir, en une période relativement courte, plus de 90% de la population ivoirienne en exil (environ 270 000 sur les 300 000). Sur la question de l’apatridie, ce sont environ 15 000 personnes qui se sont vu attribuer la nationalité grâce à la loi sur l’identification des personnes victimes d’apatridie», indique le texte en question. Avant d’ajouter que «l’intervention de la ministre a permis au haut-commissaire, depuis la table de séance, d’apprécier et de féliciter la Côte d’Ivoire pour les efforts accomplis».
Unhcr, par cette rencontre en terre suisse, entend faire le point de ses activités pour l’année 2017 et prendre des orientations pour une meilleure prise en charge des questions liées aux réfugiés et à l’apatridie pour l’année 2018.
F. T.D.