Abidjan – La ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Bakayoko-Ly Ramata, a présidé, jeudi, à Abidjan, un atelier consacré à la présentation de la politique et de la stratégie d’élaboration des contrats de performance des institutions d’enseignement supérieur et de recherche.
« Le Contrat de performance est un mécanisme de financement axé sur les résultats et la reddition des comptes qui devient une exigence », ce qui signifie que l’Etat sera désormais plus exigeant sur l’utilisation effective des subventions et budgets alloués aux projets et programmes prioritaires des universités, grandes écoles et instituts de recherche, a précisé Pr Bakayoko-Ly Ramata.
Cette innovation devrait servir de boussole pour les actions prioritaires des institutions, de cadre permanent de dialogue entre l’Etat, les institutions et les partenaires. Elle facilitera la démarche qualité des offres de formation avec des évaluations externes et même la réévaluation de l’orientation stratégique de ces structures de formation sous tutelle ou non.
Plusieurs ministres, dont ceux de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie, de la Communication, de l’Economie numérique et de Poste, Bruno Koné, et de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara, ont apporté la solidarité gouvernementale à Bakayoko-Ly Ramata, pour le caractère transversal de ce projet.
« Les questions de l’éducation doivent être abordées par un traitement holistique depuis la base, de la maternelle jusqu’au supérieur, offrant un environnement et des outils pour avoir les résultats escomptés en vue de mettre sur le marché des ressources humaines de qualité, bien formées au service des entreprises », a noté Kandia Camara qui a relevé « un enjeu majeur » pour le système éducatif dont l’ensemble des acteurs pourra être fier lorsqu’il contribuera à l’excellence de l’école ivoirienne.
Pour le président de la Conférence des présidents d’universités, Pr Lazare Poamé, président de l’université Alassane Ouattara de Bouaké, il s’agit d’un « important tournant » visant à changer les paradigmes antérieurs, de l’esquisse de nouveaux pas, pour dépasser le style de pilotage classique des universités vers la modernisation de la gouvernance des instituts et universités.
Cette innovation fait suite à la réhabilitation des universités, à la construction de deux nouvelles universités à Korhogo et Man, au recrutement de nouveaux enseignants, à l’institution du système Licence-Master-Doctorat (LMD) dans un contexte de massification des effectifs et de vétusté des infrastructures didactiques dans l’enseignement supérieur.
Ce projet vise à financer les institutions de l’enseignement supérieur sur la base de projets, évalués pendant leur mise en œuvre, pour confronter les résultats obtenus à ceux attendus.
aaa/fmo
« Le Contrat de performance est un mécanisme de financement axé sur les résultats et la reddition des comptes qui devient une exigence », ce qui signifie que l’Etat sera désormais plus exigeant sur l’utilisation effective des subventions et budgets alloués aux projets et programmes prioritaires des universités, grandes écoles et instituts de recherche, a précisé Pr Bakayoko-Ly Ramata.
Cette innovation devrait servir de boussole pour les actions prioritaires des institutions, de cadre permanent de dialogue entre l’Etat, les institutions et les partenaires. Elle facilitera la démarche qualité des offres de formation avec des évaluations externes et même la réévaluation de l’orientation stratégique de ces structures de formation sous tutelle ou non.
Plusieurs ministres, dont ceux de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie, de la Communication, de l’Economie numérique et de Poste, Bruno Koné, et de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kandia Camara, ont apporté la solidarité gouvernementale à Bakayoko-Ly Ramata, pour le caractère transversal de ce projet.
« Les questions de l’éducation doivent être abordées par un traitement holistique depuis la base, de la maternelle jusqu’au supérieur, offrant un environnement et des outils pour avoir les résultats escomptés en vue de mettre sur le marché des ressources humaines de qualité, bien formées au service des entreprises », a noté Kandia Camara qui a relevé « un enjeu majeur » pour le système éducatif dont l’ensemble des acteurs pourra être fier lorsqu’il contribuera à l’excellence de l’école ivoirienne.
Pour le président de la Conférence des présidents d’universités, Pr Lazare Poamé, président de l’université Alassane Ouattara de Bouaké, il s’agit d’un « important tournant » visant à changer les paradigmes antérieurs, de l’esquisse de nouveaux pas, pour dépasser le style de pilotage classique des universités vers la modernisation de la gouvernance des instituts et universités.
Cette innovation fait suite à la réhabilitation des universités, à la construction de deux nouvelles universités à Korhogo et Man, au recrutement de nouveaux enseignants, à l’institution du système Licence-Master-Doctorat (LMD) dans un contexte de massification des effectifs et de vétusté des infrastructures didactiques dans l’enseignement supérieur.
Ce projet vise à financer les institutions de l’enseignement supérieur sur la base de projets, évalués pendant leur mise en œuvre, pour confronter les résultats obtenus à ceux attendus.
aaa/fmo