Abidjan - Le ministre ivoirien des Ressources animales et halieutiques, Kobenan Kouassi Adjoumani, a invité les pays de la sous-région à s’approprier le projet sur la technologie du biodigesteur.
Le ministre Adjoumani a lancé cet appel dans son discours de clôture de la conférence internationale sur la technologie du biodigesteur qui s’est déroulée du 10 au 12 octobre à Ouagadougou, selon un communiqué parvenu mercredi à l’AIP.
Le ministre représentait le gouvernement ivoirien à cette conférence et a réaffirmé le soutien de son pays à la réussite de ce projet qu’il trouve "salutaire pour les pays qui dépendent des énergies fossiles".
"Je crois que le modèle burkinabè doit être transposé dans toute l'Afrique, principalement dans les pays de la sous-région et en Côte d'Ivoire particulièrement, nous allons initier cela", a-t-il promis.
La technologie du biodigesteur est une source d’énergie renouvelable simple qui aide à lutter contre l’insécurité alimentaire, nutritionnelle et énergétique et la pauvreté, et constitue à l’atténuation des effets du changement climatique.
Elle est déjà mise en œuvre dans cinq pays d’Afrique que sont le Burkina Faso, l’Ethiopie, le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie.
A la clôture des travaux, le président de la République du Faso, Rock Marc-Christian Kaboré, a réitéré sa détermination et son engagement à œuvrer, de concert avec ses pairs, à la promotion de la technologie du biodigesteur.
Il a invité les participants à cette rencontre à la mise en place d’un cadre de suivi des recommandations.
La technologie du biodigesteur permet de produire du biogaz à partir de déchets organiques, tels que les excréments humains ou animaux, à travers un processus naturel de fermentation qui dégrade la matière organique sans oxygène (digestion anaérobie), rappelle-t-on.
bsp/kp
Le ministre Adjoumani a lancé cet appel dans son discours de clôture de la conférence internationale sur la technologie du biodigesteur qui s’est déroulée du 10 au 12 octobre à Ouagadougou, selon un communiqué parvenu mercredi à l’AIP.
Le ministre représentait le gouvernement ivoirien à cette conférence et a réaffirmé le soutien de son pays à la réussite de ce projet qu’il trouve "salutaire pour les pays qui dépendent des énergies fossiles".
"Je crois que le modèle burkinabè doit être transposé dans toute l'Afrique, principalement dans les pays de la sous-région et en Côte d'Ivoire particulièrement, nous allons initier cela", a-t-il promis.
La technologie du biodigesteur est une source d’énergie renouvelable simple qui aide à lutter contre l’insécurité alimentaire, nutritionnelle et énergétique et la pauvreté, et constitue à l’atténuation des effets du changement climatique.
Elle est déjà mise en œuvre dans cinq pays d’Afrique que sont le Burkina Faso, l’Ethiopie, le Kenya, l’Ouganda et la Tanzanie.
A la clôture des travaux, le président de la République du Faso, Rock Marc-Christian Kaboré, a réitéré sa détermination et son engagement à œuvrer, de concert avec ses pairs, à la promotion de la technologie du biodigesteur.
Il a invité les participants à cette rencontre à la mise en place d’un cadre de suivi des recommandations.
La technologie du biodigesteur permet de produire du biogaz à partir de déchets organiques, tels que les excréments humains ou animaux, à travers un processus naturel de fermentation qui dégrade la matière organique sans oxygène (digestion anaérobie), rappelle-t-on.
bsp/kp