La paix a beau être revenue, des milliers d’armes acquises du temps de la rébellion et de la crise postélectorale sont toujours en circulation. Et les autorités ont le plus grand mal à les récupérer…
C’est un gymnase abandonné en bord de route, à Attécoubé, un quartier d’Abidjan situé entre le Plateau et Yopougon. Il y a encore peu de temps, des enfants s’y entraînaient au judo. Au sol, des vêtements et quelques chargeurs vides. Le 27 septembre, l’armée ivoirienne a annoncé y avoir découvert une importante cache d’armes. Des fusils d’assaut AK-47, des mitrailleuses lourdes, des grenades, des lance-roquettes, des obus, 300 treillis, des cagoules, de fausses plaques d’immatriculation, des munitions, des explosifs ainsi qu’un véhicule. Lors de la... suite de l'article sur Jeune Afrique
C’est un gymnase abandonné en bord de route, à Attécoubé, un quartier d’Abidjan situé entre le Plateau et Yopougon. Il y a encore peu de temps, des enfants s’y entraînaient au judo. Au sol, des vêtements et quelques chargeurs vides. Le 27 septembre, l’armée ivoirienne a annoncé y avoir découvert une importante cache d’armes. Des fusils d’assaut AK-47, des mitrailleuses lourdes, des grenades, des lance-roquettes, des obus, 300 treillis, des cagoules, de fausses plaques d’immatriculation, des munitions, des explosifs ainsi qu’un véhicule. Lors de la... suite de l'article sur Jeune Afrique